Castelion Toran Etoile Celeste de la Victoire [ok]

Bonjour à tous,
Je me nomme Michel, 28 ans
Technicien méthode actuellement à la recherche d’un emploi (et oui ca arrive :p). J’habite en Haute-Saône près de Vesoul (oui oui comme dans la chanson de Jaques Brell ^^)
J’ai connu ce site via un partenariat et encouragé à m’inscrire par Natsushi.

Prénom: Castelion
Nom : Toran
Âge: 22ans
Surplis: Basilisc
Etoile: l'étoile Celeste de la Victoire
Taille: 185 centimétres
Poids: 80 kilos
Couleur des yeux: Noir
Couleur des cheveux: Gris

Castelion est né sur les rives de la méditerrané sur ce qui fût l’ancienne gaule. A l’époque, Rome et ses centurions avaient déjà conquis ses terres se faisant fort de leur empire. Lors de sa naissance, le petit Castelion était chétif et nombreux furent ceux qui pensèrent en le voyant qu’il ne passerait pas son premier hivers. Cependant, tel ne fut pas le cas et malgré tout, l’enfant grandit.

Evidement, à cette époque, les enfants de village se faisaient fiereté de leur force pour servir l’empire et n’hésitaient pas à en faire démonstration sur les plus faibles. Castelion fût donc une victime quotidienne. Malgré cela, il ne se laissait pas faire, essayant tant bien que mal de rendre coup pour coup et de laver son honneur quand les autres enfants lui faisaient remarquer l’infériorité de sa race face aux romains.

A l’âge de l’adolescence, il était de coutume que certains marchands viennent dans les villages afin d’acheter quelques esclaves et d’en faire ce que bon leur semblaient, tantôt objet de désir ou bien combattant. Castelion jouissait déjà d’une certaine beauté pour son âge et lorsqu’il fit le marchant ventripotent arriver vers lui avec ses bijoux, le faisant plus ressembler à un temple sur patte qu’à un homme, son sang ne fit qu’un tour. Déjà une sueur froide coulait dans son cou. Il connaissait bien ce marchand qui rachetait à prix d’or les jeunes adolescents et son gout pour les « essayer » et les vendre au gens tendancieux comme lui.

Une grosse main se posa alors sur l’épaule de l’esclavagiste. Castelion ne voyait que cette main rugueuse et calleuse qui retenait le bonhomme.

-Arlixis, laisse le moi. Je comptais acheter cet enfant pour qu’il divertisse les gradins d’Athènes.

Le marchand se retourna. L’adolescent ne voyait que son dos et ne pouvait voir son « sauveur » d’an l’alignement d’enfant dont il faisait parti.

-Et bien Romius, il va falloir que tu alignes tes pièces d’or. Ce jeune homme me plait aussi figures toi. Regardes-le. De toute façon, tu le vois rentrer dans une arène ? Il ne tiendrait pas une minute.

-Grrr, tu es stupide. Je te laisse à tes jeux pervers mais en matière de combattants, j’ai certainement l’œil plus aguerrit plus que toi. Son regard, sa rage… Il fera un très bon guerrier.

Les deux hommes se faisaient face. L’adolescent se pencha légèrement pour voir de qui émanait cette voix grave qui voulait l’emmener combattre. A sa grande surprise c’était un colosse couvert de cicatrices. On aurait dit qu’il portait du sang germanique. Le marchand ne semblait pas intimidé mais Castelion lui, commençait à avoir peur de cet homme même si il ne le montrait pas. Arlixis reprit.

-Et bien, ce n’est pas parce qu’il est reconnu que tu descends de Romulus frère de Remus, les fondateur de Rome qu’il faut te croire tout permit.

Romius prit alors la badine du marchand et la brisa en deux devant ses yeux.

-Bien, bien, je m’en vais, la force aura eut raison du raffinement aujourd’hui Romius.

C’est ainsi que Castelion dut suivre le colosse. Avec d’autres enfants, il dut apprendre et apprendre encore à se battre. Son corps se sculptait petit à petit pour être celui d’un guerrier svelte jouant de son apparence pour tromper les plus forts.

Avec le temps, Castelion devint un bon Mirmillon, il était toujours en retrait et entre autre, d’un gladiateur du nom de Spartacus. Tous deux étaient à l’école Caoupe et un jour le gladiateur confia son intention de fuir à Castelion. Cela faisait 5 ans que le jeune homme combattait, il comprenait mieux les yeux de Spartacus, ivrent de liberté et sa rage à toujours vouloir vaincre l’ennemis. C’était comme si Arès lui-même combattit via cette homme. Puis, le grand jour fut arrivé. Les esclaves se rebellèrent. Ils s’enfuirent de la grande cité de Rome où Castelion fût transférer pour son « mérite » à tuer. Le jeune homme cependant rêvait de sa propre voie. Aussi, il partit en direction de l’Est et trouver une ville réputé pour son raffinement, Constantinople. La ville comptait environs 500 000 habitants il était donc assez aisé de s’y dissimuler.

Castelion, se décida à se faire passer pour un marchand qui aurait été attaqué et à qui on aurait tout prit. Le ruse marcha mieux que prévu et quelques marchand, bien tristes pour lui, donnèrent soit un peu d’argent, soit des babioles. Ces dernières servirent à Castelion pour monter une brocante. La boutique marchait bien et ce pour une raison qui n’avait rien à voir avec la marchandise. Les jeunes femmes étaient attirées par ce garçon à la beauté étrange. Des traits fins tout en étant athlétiques. Le jeune homme n’en avait pas trop conscience, il était encore un peu benêt pour les jeux de cours et de charmes. Les rumeurs le disaient métis, renforçant ainsi l’attrait exotique qu’il avait. Cela le rendait mystérieux et comme il ne s’étendait jamais sur son passé, cela n’arrangeait rien.

Un jour, il fut convié à une grande soirée par une dame de pouvoir. Castelion s’y rendit mais n’était guère en train à se plier aux ardeurs de la dame.

-Alors, Castelion, il m’est d’avis qu’un bon échange et une bonne entente pourrait vous être profitable. Voyons…

La jeune femme se leva de ses coussins. Elle était affublé se fins vêtement de soi mettant ses charmes en valeur et qui était des plus révélateur sur la futur demande. Elle posa un doigt sur les lèvres du garçon les yeux mis- clos.

Déjà, les souvenir d’esclavage et du marchand refirent surface. Jamais plus il ne se plierait et serait la « choses » de quelqu’un.

-Madame, je ne suis pas un oiseau qui se laisse attraper dans une cage doré. Je préfère ma liberté, je vous prierais donc de cesser.

Il attrapa la main de la dame fermement et partit brusquement. Bien que cet évènement puisse sembler anodin, ce ne fut pas le cas. Vexée jusqu’à l’extrême dans son cœur de femme, elle envoyant des hommes pour le tuer. Qui était-il ce petit marchand de rien qui osait se refuser à une puissante noble ? Il devait payer de sa vie cet affront.

C’est donc en parcourant comme à son habitude les rues qu’il fût assailli par trois hommes. Le garçon n’avait en rien oublié les leçons de combats. Aussi, il commença à se démener comme un beau diable à la stupéfaction des trois gredins qui ne voyait en lui que le petit marchand. Castelion réussit à leur prendre un glaive et commença à en tailler un en pièce. Tout lui revenait, le sang le maculant aussi bien lui que le sol, la foule en délire, l’ivresse de la victoire. Et ce regard, le regard du libérateur d’esclave Spartacus… Très vite, un deuxième tombât, puis le dernier. Le glaive écarlate brillait sous la lueur de la lune de ce soir de printemps. Mais soudain, Le jeune homme vit du rouge dans son regard, une douleur le pénétrait et se diffusait dans tout son corps. Il se retourna. Là, la jeune noble tenait un arc dont la flèche venait d’être décochée. La pointe de la flèche avait été empoisonnée pour être sur du résultat. Castelion hurla de rage et de fureur et réussit tout de même à lancer son glaive perforant ainsi le ventre infécond de la vipère assassine.

Quelque temps plus tard, le jeune homme travaillait dans une vallée de chaos. Le ciel était noir et déjà derrière lui résonnait les coups de fouet.

-Allez, travaille feignant. Tu as été jugé pour demeurer ici pour l’éternité.

-Eternité ?

Castelion ne comprenait rien si ce n’était cette personne en armure qui tenait son fouet.

-Gringalet, vas travailler.

L’individu leva son fouet mais Castelion fût le plus rapide. Il sauta sur l’individu et lui arracha son fouet. Puis, il lui enfonça le manche dans la bouche pour l’étouffer. C’est alors que le jeune homme se prit un méchant coup de pied qui l’envoya volé dans la roche. Sous le choque, le garçon toussa. Il entendit juste une voix.

-Il suffit. Tu es le Basilic l'étoile Celeste de la Victoire.

C’était une femme. Elle reprit :

-Je suis Natsuhi Spectre Céleste du Rêve. Nous t’avons cherché longtemps tandis que tu étais déjà mort. Je vais te conduire auprès de notre seigneur.

- Cela… Cela fait combien de temps que je suis ici…

- Trop, pour que les gens se souviennent de toi…

Castelion en apprit plus sur les enfers, son devoir, sa vie qui ne lui appartenait plus. Il était encore un peu chamboulé aussi, il fût décidé que Natsuhi soit sa tutrice et qu’elle lui apprenne le file du pouvoir et de la chevalerie.

Bienvenue a toi et amuses toi bien ici.
Tu as choisi le bon camp.

Merci Arcas. Ton accueil me fait plaisir.

bienvenue, et amuses toi bien

Bienvenue sur le forum et amuse-toi bien parmi nous ^^

Bienvenue parmis nous

Bienvenu parmis nous ^^

bienvenue amuse toi bien

NAT VA APPRENDRE A UN HOMME Oo

Impressionnant !

Bienvenue et bonne chance !

Bienvenue parmis nous^^

Oui Morrigan c'est convenu avec elle. Comme ca je ferai mon petit newbie quelque temps, héhé.

Merci à tous pour votre accueil c'est très gentil. ^_~

bienvenue parmi nous et amuse toi bien sur antho^^

je m'occuperai de toi demain

Ouais, je suis maître hihi !

Morrigan Aenslaad a écrit:: NAT VA APPRENDRE A UN HOMME Oo

Impressionnant !

Bienvenue et bonne chance !

Mdr ouais, elle va enseigner à un mec !

Ca va la changer... hihi !

Bien joué, mon ami !

Soit le bienvenu parmi la grande famille des Spectres et je te souhaite un excellent Rôle-Play sur Anthologie !

Ma foi, Hadès va être heureux d'apprendre que ses rangs s'aggrandissent