Domaine de l'Etoile Forte et Violente: La Wyvern

Crios regarda Ruika s'éloigner vers la bibilothèque de Rhadamante, puis continua à boire son verre. c'etsa lors qu'il entendit une sorte de petit cri. Le titan ne bougea pas et quelques instants après il vit Ruika revenir. Son visage montrait clairement que quelque chose l'avait perturbée.

Restant silencieux, Crios se plongea de nouveau dans ses pensées sur ce qui allait se passer prochainement. Ruika jouait du piano et Castelllion était silencieux. C'est alors qu'une nymphe vint remettre un message à la prêtresse.

" Je m'excuse mais je dois
vous laisser mes chers compagnons. Sa Majesté Thanatos vient de me
faire appeler pour partir au combat contre Asgard.
Je vous souhaite une bonne continuation en espérant vous revoir prochainement ! "

Alors elle devait aller se battre enfin du moins soutenir les forces des Enfers. Crios lui rendit son salut.

"Prenez soin de vous et saluez Thanatos de ma part."

La prêtresse partit alors et Crios resta silencieux. Il se damanda alors pourquoi elle était si étrange depuis un moment, depuis....oui depuis qu'elle était sortie de la bibilothèque. Le titan eut envie de vérifier mais il ne le pouvait ouvertement en présence de Castellion. le titan fit alors quelques pas, allant à la fenêtre voir la vue sur les sombres Enfers, puis passa près de l'entrée de la bibilothèque.

"Rhadamante à une impressionnante collection. Certains livres semblent très anciens." dit-il à haute voix.

Le titan entra alors dans la pièce et la parcourut du regard et là, il vit quelque chose qui le frappa. Le sablier de Cronos représenté sur un livre. Les enfers le cherchait donc ? Cela pouvait expliquer le malaise de Ruika. Crios s'approcha du livre. Tout était indiqué sur l'artefact. le titan réagit très vite. Il ouvrit une petite porte dimensionnelle droit sur son débarras dans son temple et y jeta le livre. La manipulation ne dura qu'un bref instant, assez furtive pourque perosnne n'ait eu le temps de snetir son cosmos. Ainsi, personne d'autre n'aurait ces informations, pas même au Labyrinthe car seul lui savait où était ce fameux débarras.

Crios revint alors dans la salle toujours aussi calme.

"Rhadamante est un homme de culture. Certains ouvrages sont très interressants. il faudra que je lui demande pour lui en emprunter quelques un."

La nouvelle qu'Hadès cherchait cet artefact ne plaisait guère au titan, mais pour l'instant les Enfers combattaient Asgard ou allaient le faire et le Labyrinthe était gardé. Japet étant rentré de chez Eris et cherchant déjà le sablier, il n'y avait rien à craindre sur le fait qu'Hadès tente de les voler derrière leur dos. Néanmoins, la chose était à prendre en considération...

C'est alors que le titan reçu un message télépathique de Japet. Le titan lui répondit de suite :

** Bien que Cronos ne m'en ai pas parlé j'avais eu un vague préssentiment de cela,. C'est une bonne chose de les avori à nos cotés. Je susi aussi heruex d'apprendre le retour de Coeos. salues-le pour moi.**

Crios retourna alors s'assoir et s'adressa à Castellion.

"Dis-moi Castellion, que penses-tu de l'attaque d'Asgard ?"

Castelion regarda Crios se lever et se diriger pres de la fenêtre. A l’évocation de la bibliothèque, le spectre se demanda ce qui avait bien poussé Ruika à y aller si prestement. Maintenant,, c’était au tour du titan de vouloir y jetter un œil. Mais, le spectre ne pouvait décemment pas laisser une personne étrangère se balader dans les appartements d’un juge et après tout, il ne connaissait que peu les liens qui unissaient le Wyvern et le Titan.

Aussi, dès que Crios eut passé la porte, Castelion se leva et se mi dans le petit jour laissé par l’espace entre les gons de la porte et l’encadrure mural. Fort heureusement, la nymphe au piano avait couvert ses bruits de pas et il pouvait donc observer sans être vu. Bien qu’il ne distingue pas le sujet du livre, il prit note de la forme et de la couleur de la couverture et plus encore du geste du titan. Cela ne devait pas être la première fois que ce dernier pratiquait car aucun cosmos ne se dégageait de son geste, preuve d’une certaines maîtrise. Crios serait-il donc qu’un vulgaire voleur ?

Le spectre était assez déçu, cette homme paraissant plein de vertus et dont en qui le juge avait toute confiance se montrait sous un autre jour. Pour Castelion, c’était tout le contraire, il intriguait et personne ne lui faisait vraiment confiance. Comme quoi, les apparences étaient trompeuses. Aussitôt le forfait effectué Castelion retourna vite à sa place comme si il n’avait jamais bougé.

L’attaque d’Asgard ? Je n’ai rie à en penser à vrai dire. Si cela conforte le seigneur Hadès dans ses idéologies de conquête et bien, je ne peu que m’y plier. Mais, et toi ? Ne devais-tu pas prendre part à cette batail ? Car je doute que la réunion avec mon seigneur soit possible en ce moment. Quels sont tes projets ?

L’attaque d’Asgard ? Je n’ai rie à en penser à vrai dire. Si cela conforte le seigneur Hadès dans ses idéologies de conquête et bien, je ne peu que m’y plier. Mais, et toi ? Ne devais-tu pas prendre part à cette batail ? Car je doute que la réunion avec mon seigneur soit possible en ce moment. Quels sont tes projets ?

Crios aurait bien voulu mener cette guerre mais il semblait qu'Hadès n'est pa souhaité l'aide des titans sur ce coup là. Il devait avoir ses raisons. Peut-être voulait-il garder ses alliés pour une plus grande bataille.

"En fait on ne nous a pas invités à cette guerre. Il semblerait qu'Hadès a d'autres projets à réaliser avec ses alliés. Il est vrai aussi que l'entrevue avec lui soit de moins en moins possible. Mais vu qu'on ne ma pas invité à repartir, je pense que pour l'instant l'entretiuen est manitenu."

Castelllion avait été direct avec lui, comme tous les autres spectres. Une chose que le titan appréciait chez les spectres. Néanmois, ils cherchaient le sablier de Cronos dans le dos des titans. Cela ne plaisiat guère à Crios. Mais d'un autre coté, peut-être qu'Hadès allait lui en parler et Crios s'était emballé trop vite. Mais d'un autre coté Ruika été troublée après avoir vu ce livre. Peut-être avait-elle compris ce qui se passait. Les pensées fusaient dans la tête de Crios. Lui qui aimait les choses franches directes simples s'embrouillait tout seul.

Le titan se leva d'un coup, il allait rendre de nouveau simple tout cela car au final il avait toujours joué franco avec ses alliés et cela vait marché jusque là. Agir comme cela ne lui plaisait pas. Le titan des astres n'était pas comme cela.

"Et puis merde." dit-il.

Le titan ouvrit de nouveau une porte dimensionnelle, la franchit et revint une poignée de seconde, le livre à la main. Le livre n'ayant pas été fermé, il le posa devant Castelllion.

"J'avais pris cela dans la bibilothèque. En le voyant j'ai compris que vous recherchiez cet objet et nous n'étions pas au courant. Sur le coup je l'ai pris. Mais je suis quelqu'un de franc qui ne joue pas aux complots et intrigues. Soyez franc avec moi sur cela et je le serais avec vous."

Crios ne le montra pas gardant son visage serein, mais au fond il était soulagé de se comporter fidèle à lui-même. Qu'est-ce qu'il lui avait pris. Jamais avant il n'aurait agi comme cela. Entre Cronos qui lui a brouillé la mémoire lors de leur échange d'enveloppe charnelle, sa récente mort, le titan agissait différrement à son habitude lors de brefs instants.

*Il faut que tu te resaisisse, mon vieux.* pensa t'il.

En voyant Crios faire marche arrière dans ca démarche, le spectre se détendit un peu plus. Le titan avait sans doute trop vite en besogne dans sa réflexion.

Je n’ai à ma connaissance, aucune information concernant des spectres envoyés à la recherche du sablier. La batail d’Asgard est sans doute trop importante pour l’heure. S’il est vrai qu’un artéfact perdu intéresse TOUS les camps, pourquoi en serait-il autrement pour celui d’Hadès ? N’ayant pas de projets en vu pour la chose en ce moment il était donc inutile de vous en parler, voire de l’évoquer. De plus, je ne sais pas à quoi l’objet est destiné, je vous dirais donc qu’au final, mieux vaudrait vous adresser directement à notre seigneur.

Carré et bref, le Basilic savait que de toutes façon il n’était pas une pièce à qui on faisait des confidences. Aussi, on pourrait lui soutirer autant d’information que l’on voulait, comme il ne savait rien, il ne risquait pas de parler à tord et à travers. C’est vrai que la prêtresse Ruika avait été étrange mais c’est sans doute juste le lien qu’elle avait fait entre Crios et le sablier qui l’avait touchée.

Merci d’avoir rendu le livre en tout cas. Je pense que votre amitié avec le juge n’en sera que plus forte.

Le Basilic se servit un verre ainsi qu’à Crios.

Crios écouta la réponse de Castellion. Une réponse franche pleine de vérité et de sincérité. Le titan se rassit.

"Vous avez raison, Castellion. Nul doute que les artefacts, quels qu'ils soient interressent tous les camps. Vu la puissance de ses objets. J'ai sans doute était trop impulsif."

Castellion ne semblait pas avoir grand chose sur les artefacts. Le spectre remercia alors Crios d'avoir rendu le livre.

"Je sais reconnaître mes erreurs et je les répare toujours. De plus, perdre une amitié pour un bouquin serait vraiment idiot."

Castellion tendit alors un verre au titan qui le saisit.

"Merçi."

Crios vint alors à poser uen question au basilic qu'il se posait depuis un moment. Il ignorait si le spectre pouvait lui répondre ou s'il le désirerait. Néanmoins, le titan des astres lui posa quand même.

"Ma question aura peut-êter une réponse qui ne me regarde pas mais je vous la pose quand même. Vous n'êtes pas obligé de me répondre. Lors de la réunion tout à l'heure en Guideccia, j'ai sentit une tension au sein des spectres et juges. Il y avait bien celle présente avant toute guerre, mais il y avait autre chose. Tout se passe bien entre juges et spectres ?"

Le titan était casiment sûr qu'il y avait des problèmes. Hadès avait frappé un spectre, castelllion avait été blessé, l'ambiance au sein des Enfers ne semblait pas à son meilleur point et Crios voulait savoir si ses alliés étaient unis dans leur camp ou moins qu'auparavant. Peut-être que la dernière Guerre saint avait laissée des traces...

Le spectre sourit à la question. En fait peu de question le dérangeait voir même aucune. C’était sans doute ce qui était assez troublant en lui.

Des tensions ? Je ne verrais pas la chose ainsi. Disons que comme dans toutes armées, il y a une certaine rigueur à tenir. Une rigueur, qui fait abstraction des sentiments. Donc oui, il y à une certaine forme de dureté, des inimitiés etc… Mais notre loyauté doit dépasser les stades émotionnels. Comprenez que nous sommes déjà morts. Les spectres sont composés de multiples personnalités et donc fatalement des divergences de point de vu. En sommes-nous pour autant moins servile pour notre seigneur ? Je ne crois pas.

Le Basilic but une gorgé tout en tenant son verre comme un calice.

Mais vous dites moi. Racontez-moi votre royaume. Je ne sais trop dire pourquoi mais j’avoue que j’éprouve une attirance pour ce dernier bien que ne l’ayant jamais visité. Comment est-ce ? Aussi sombres que nos enfers ou aussi éclatant que les champs Elysées ?

Le spectre semblait vouloir prendre connaissance du royaume de Chronos. Certains aurait pût y voir une forme d’espionnage mais ce n’était pas le cas. Castelion ne demandait aucun secret mais faisait plus office de personne curieuse sur le monde extérieur.

Crios écouta les explications sur les tensions possibles entre spectres. Après tout, si le titan regardait de son coté, les siens n'étaient toujours pas en accord, surtout lui qui avait plus d'une fois été en tension avec ses frères. La dernière remonte avec Cronos lors du transfert de corps dont Crios avait piqué une crise quand il l'avait découvert. Bien qu'au final, il appris qu'il avait accepté ce transfert mais en avait perdu le souvenir après. cela n'avait pas été la seule fois, car Crios agissant un peu comme il le désirait, cela causait parfois des tensions. Mais au final les titans étaient toujours unis lors des guerres. Cela devait être semblable chez les spectres.

"J'ai du donc avoir une fausse impression. On a souvent tendance à penser les spectres agissant avec droiture. pourtant bien que mort, vous avez toujours vos personnalités. Il y a beaucoup d'à priori sur toutes les factions. Si l'on regarde, les titans sont vus pour beaucoup comme des brutes arrogantes. Nous l'avons peut être été mais cela est fini depuis longtemps."

Crios posa son verre et écouta la question de Castellion. Comme beaucoup il se demandait à quoi ressemblait le Labyrinthe. Il faut dire que venir au Labyrinthe nécessitait de traverser les Enfers puis pénétrer dans le Tartare ce que beaucoup ne se risquaient pas.

"Le Labyrinthe se présente comme une immense citadelle de l'extérieur, le ciel toujours en proie aux orages. A l'intérieur tout est immense. De gigantesques colonnes reliées par des ponts immenses. On pourrait penser le lieux sombre mais pas du tout. Tout est en marbre clair et une lumière diffuse baigne partout. Dans tout ce mélange se trouve six temple, un pour deux titans. Chacun est gardé par un couple de titan sauf le premier car ses deux gardiens ne sont pas mariés. Chaque temple à son style selon les couples qui y vivent. Encore une fois seul le premier temple est différent étant en trois partie. une commune et une pour chacun des deux résidents."

Crios fit une pause. Il pensait avoir plutôt bien décrit les lieux. une pensée le traversa. Les temples étaient les résidences des titans, mais où allaient être logés les anges déchus. Peut-être dans les temple des titans qui n'étaient pas revenus. mais si l'un de ses frères revenait chez lui avec un ange déchu dedans, il y aurait des problèmes.

*Bah après tout ce n'est pas mon problème du moment qu'ils ne sont pas chez moi.* pensa t'il.

Le titan des astres revint alors sur ce qu'il disait à Castellion.

"Si vous désirez un jour venir le voir de vos propres yeux se sera avec plaisir. Vous pouvez même venir accompagné si vous le voulez."

En faite, messire, depuis quelques temps, je rêve à ce lieu. Je ne saurai trop expliquer le pourquoi puisque je ne me rappel pas y avoir été… J’aimerais visiter ce lieu oui et je ne vois pas l’utilité d’être accompagner. Ce n’est pas comme si j’étais une personnalité des enfers.

D’étrange souvenir submergeaient la mémoire du spectre. Parmi eut, des chaîne, des cris, des hué publique, la haine contre lui… et enfin le labyrinthe et son étrange élégance. Plus de cris stupides de ceux qui ne voyaient rien. Tout semblait plus calme…

Et vous, dites moi ? Quels sont vos projets ? Je veux dire, âpres votre séjour en enfer évidement.

Le spectre sentait que quelque chose changeait en lui. Une impression étrange et sensible qui lui montait dans l’estomac. C’était assez perturbant, même si Castelion essayait de ne pas en faire trop cas. Il but un gorgé des fois que cela passe mais rien n’y faisait. C'était comme si il ancienne force revenait en lui. Quelque chose d'inhabituelle...

Castellion avait rêvé du Labyrinthe ? Chose étrange que quelqu'un puisse en rêver. Crios était intrigué par cela.

"Cela est en fait très étrange que vous ayez vu ce lieu en rêve. Si vous y rendre vous apportera des réponses alors je vous y emmènerai. Quant à êter accompagné, il n'était nulle question de personnalité ou quoique se soit. C'est simplement que si vous désirez emmener quelqu'un ou qu'un autre spectre désire venir il serait le bienvenu."

Crios réfléchit aux rêves de Castellion. Si le spectre avait vu le Labyrinthe en rêve alors c'est qu'il y avait mis les pieds d'une façon ou une autre. Peut-être dans une autre vie ou à un moment de son existence qu'il avait oublié. On ne pouvait rêver d'un lieu aux confins des Enfers et du monde sans l'avoir vu en vrai. A moins que le spectre ait la capacité de se projeter en rêve dans des lieux lointains.

Une idée que le titan écarta de suite était que peut-être un de ses frères sommeillait au avait sommeillait en lui un moment durant. Si cela avait été le cas, Castellion aurait été parmi eux depuis longtemps. Les titans qui avaient choisis la réincarnation ne sommeillaient pas longtemps dan s l e corps de leur hôte. Crios avait choisi la réincarnation à son retour mais au final Cronos avait eu besoin de ce corps aussi le titan avait repris son enveloppe originale. Pourquoi utiliser un corps d'humain alors que le sien était plus grand plus costaud, évitant tout problème de dédoublement avec l'hôte. Crios n'appréciait pas la réincarnation. Il l'avait fait la fois précédente pour retrouver la liberté plus vite, car cela aurait été plus long avec son propre corps.Au final, il avait fini dans le sien.

Crios sortit de son raisonnement par la question du spectre du basilic.

"Une fois Hadès rencontré je pense que je retournerai au Labyrinthe rapporter à Cronos les résultats de mon entrevue. Je pense qu'en suite selon celle-ci nous serons peut-être amenés à nous déplacer. Dans tous les cas, une fois que j'aurai vu Cronos je ne pense pas rester longtemps au Labyrinthe. je n'ai jamais été sédentaire et je ne reste toujours que quelques jours là-bas."

Crios fini son verre, regardant du coin de l'œil le spectre. le titan ne sut dire quoi mais il y avait une légère différence en lui.

"Quand j'y rentrerai vous pourrez venir si vous voulez si vous n'êtes pas appelés ailleurs."

Plus il parlait du Labyrinthe, plus Castelion sentait cette étrange force le prendre comme un nénuphar qui éclos. Une étrange fleur qui nais dans les eaux stagnante voir les marais, beauté au milieu de la fange putrescible. L’aura du Basilic était troublée. Il se leva et se dirigea vers la fenêtre pour l’ouvrir et prendre l’air. Les images de chaos, de mort venait dans sa tête.

Je viendrais certainement voir votre domaine… Mais… Il me semble cependant, ne rien devoir à ce monde… Enfin… peu importe…

Les yeux du basilic devenaient plus profonds et froid. Il se rappelait les jardins du paradis céleste. Un lieu étrange ou in simple fruit avait tout bouleversé. Allez au labyrinthe… Oui, cela paraissait une excellente idée. Le spectre se retourna et fixa le titan.

J’espère donc que votre entrevue ne sera pas trop longue afin que je puisse visiter vos terres. Cependant, pensez-vous que votre seigneur soit d’avis de recevoir ma personne en son domaine ?

[i]Le jeune homme sourit à cette idée si ce n’était cette douleur dans le dos qui lui prenait…[/i

Crios ne comprit pas les paroles de Castelllion aussi comme le spectre avait dit peu importe, le titan des astres ne dit rien à cela. Dans le silence qui s'était crée Crios remarqua que le spectre était préoccupé, perdu dans ses pensées. Ses rêves devaient le troubler. Qui ne le serait pas. rêver du domaine des titans sans jamais y être allait devait surement soulever beaucoup de questions.

C'est Castellion qui parla de nouveau..

"La durée de l'entrevue dépendra d'Hadès. Personnellement je ne suis pas un très grand causeur et j'aime aller au but."

Le spectre souleva la question de Cronos. D'un coté Crios agissait toujours comme il le voulait. Il pensait donc qu'il pouvait emmener qui il voulait. Puis il ne voyait pas en quoi la présence du spectre pouvait gêner. Il serait seul au milieu de tous les titans. de plus Crios commençait à avoir de la sympathie pour lui et c'était un allié. aussi pourquoi ne pas l'aider ?

"Vous n'aurez rien à craindre de Cronos. Il a confiance en moi bien que je puisse être assez imprévisible par moments. Vous faites partis de nos alliés et il sait que je n'accorde pas ma confiance à n'importe qui. Il acceptera votre présence."

Crios savait que son frère était raisonnable. Loki, Myst, Thanatos, Rhadamante, Ruika, Agapée étaient venus au Labyrinthe, donc pourquoi refuserait-il la présence de Castellion.

"Vous ne serez pas le premier spectre à venir au Labyrinthe. Je ne vois pas pourquoi cela causerait de problèmes qui plus est."

Très bien, j’en prend bonne note. Je pense donc venir immédiatement et si possible, dans l’espoir que la guerre contre Asgard finisse au plus vite. J’ai cru comprendre que vous étiez l’ami du juge de la Wyvern ? Puis-je connaitre les fondements de cette amitié ?

Castelion sentait toujours cette énergie affluer en lui. C’était assez étrange comme sensation. A la fois douce et violente. Il prenait conscience petit à petit, de se qui le motivait, de se qui l’avait conduit ici. La perfidie, la trahison, toutes ces choses qui font que le monde tourne. Crios pouvait-il sentir cela ? Castelion en doutait mais après tout, il était un puissant titan.

Venant en direction du piano, il s’accouda à ce dernier tout en regardant la jolie nymphe jouer. Il était vrai que peu de spectre s’adonnait à l’art même si certains se disaient connaisseur.

Dites moi. Quels réjouissances avez-vous dans votre royaume ? Je gage qu’en temps qu’immortel vous avez d’autre préoccupation que la guerre et les intrigues politique non ? Cela doit lasser au bout d’un moment…

Le spectre évoqua la guerre en Asgard et son empressement de voir le Labyrinthe. Crios voyait très bien comment les choses pouvaient se passer en Asgard. Par contre l'empressement de Castellion montait de plus en plus et cela commençait à intriguer un poil le titan. Le titan ne savait quoi mais quelque chose changeait dans le spectre. Mais bon, quand ils seraient là-bas, Castellion trouverait ses réponses et Crios par la même occasion aurait les sienne. Le fait que le spectre ait vu le Labyrinthe en rêve l'intriguait. Mais était-il sûr sur ce que disait Castelllion. Après tout, le spectre avait dit avoir vu le Labyrinthe après que Crios l'est décrit.

*Bah, peu importe, tout seul il ne pourra rien causer au Labyrinthe avec tous mes frères dedans. tu peux te faire des idées.* pensa-t'il.

"Cette guerre dépendra du Sanctuaire à mon avis. S'ils n'aident pas Asgard, les Enfers auront une victoire totale et rapide. Si les golds interviennent cela va se compliquer."

Et Hadès appellerait sans doute les titans en renfort.

Castellion voulait aussi savoir l'origine des liens entre Crios et Rhadamante. soit, le titan allait lui répondre.

"Voyez-vous, Rhadamante est petit-fils de Zeus qui est mon neveu. Le juge est donc mon petit neveu. Mais bien qu'une partie du sang d'Ouranos coule dans nos veines nous ne nous sommes rencontrés que récemment, mais il y a eu une grande affinité entre nous de suite et la confiance s'est crée de suite."

Calé dans son fauteuil, Crios ne bougea pas quand Castelllion alla vers le piano et l'entendit demander ce que les titans avaient comme distractions.

"Nos occupations ne sont guère originales, semblables à celles des spectres et tout autres personnes. certains jouent de la musique, d'autres lisent, nous préparent des banquets. En dehors des guerres nous ne sommes des êtres assez banals. Généralement les titans sortent peu du Labyrinthe. Nous ne laissons peu de place aux distractions."

De son coté, Crios préférait s'isoler lors de son temps libre, loin de toutes ses préoccupations que les titans avaient depuis des siècles, voire même prendre son sac est partir voyager. Les raisons étant la seconde partie que soulevait Castellion dans sa question.

"Personnellement, la politique et l'intrigue ne m'ont jamais lassées, car je ne me soucie pas de ces choses là. Cela ne m'intéresse pas et ce n'est pas du tout ma tasse de thé. J'en fais quand je suis obligé, je sais le faire, mais moins ça dure, mieux je me porte. Après la guerre, je ne nierai pas ne pas aimer me battre, se serait faux. Je suis né guerrier, j'ai cela dans le sang. Mais j'en ai vu et participé à tant que seuls les beaux combats avec honneur m'intéressent."

Mmm votre amitié n’est elle pas un peu superficielle ? Je veux dire par là que seul le temps et les épreuves pourront définir vos liens avec le juge. Personnellement je ne crois guère à l’affinité du sang. Combien de divins s’entretuent pour une question de pouvoir alors qu’ils sont frère et sœur ?

Le Basilic ne croyait pas trop aux amitiés naissantes trop rapides, il préférait voir avec le temps comme il l’avait fait avec Spartacus. Se dirigeant avec élégance vers le livre posé sur le table que Crios avait rendu, il l’ouvrit et regarda quelques pas en ne faisant guère plus que le survoler et regarder les images.

Je ne pense pas qu’au final ce livre puisse décrire où trouver le sablier de Chronos. Il a put très bien être bougé depuis lors. Et puis, tout dépend du moment où on été consigné les renseignements de cet ouvrage.

Petit à petit, son étrange cosmos prenait le dessus pour devenir, plus fort, plus sombre, plus étrange encore qu’il ne l’avait été. Les pétales de la fleur commençait à s’épanouir pour en dévoiler le cœur et se gorger de soleil…

"Hum, comme je vous l'ai dis, c'est plus nos affinités qui ont crée c elien, que le sang au final. Comme vous le dites, les liens du sang ne représentent pas grand chose. L'histoire l'a prouvée avec Ouranos et Cronos, puis Zeus et celui-ci, la Titanomachie. Quelques soient les liens, la soif de pouvoir détruit tout et continuera."

Au fond Crios se battait pour les titans, pour le pouvoir, mais lui n'était pas interressé par cela. Alors au final pourquoi se battait-il ? Parce que c'était ses frères et soeurs. Au final les liens du sang jouaient toujours un rôle important dans les batailles car s'ils n'existaient pas, alors Crios ne se battrait peut-être pas avec eux.

Castellion enchaîna alors vers l'artefact.

"Comme tous les autres à mon avis. Ce qui est casiment sûr c'est qu'aucun des artefacts n'ets détenu par son propriétaire. Ils ont du passer de main en main ou ont été cachés et n'ont pas bougés depuis des siècles. Les retrouver ne sera pas facile."

Crios songea pensa alors qu'il ne se rappelait pas comment Cronos avait perdu le sablier. Peut-être qu'en partant de là ils pourraient le retrouver, mais nul doute qu'avec ce livre ouvert chez le juge un ou plusieurs spectres étaient à sa recherche. Si le livre ne contenait que la description du sablier, il devait donc y avoir des indices pour le retrouver pour qu'Hadès mobilise des hommes pour cela. Mais Crios laissa tout cela de coté, après tout ce n'était pas son problème du moment. L'autre problème était le changement chez son interlocuteur de minute en minute. Son cosmos se renforçait peu à peu, Crios commençait à en reconnaître peu à peu la nature. infernale, mais pas de spectre. Une étrange sensation.

*Sang et cendres !* pensa-t'il.

Le titan avait trouvé une solution possible. Japet lui avait dit que les anges déchus de Lucifer avaient ralliés les titans ce que Crios avait eu de vagues informations ainsi que les fantômes d'Eris. Se pourrait-il que Castellion en fasse partie ? Cela expliquerai pourquoi il avait vu le Labyrinthe.

*Non c'est impossible, comment un spectre peut devenir un ange déchu sans le savoir ?*

Le titan mit de coté cette idée, l'avenir lui dirait s'il avait raison ou pas. Néanmoins si elle se confirmait alors cette idée était plaisante.

La mort, l’amertume du monde, que de sentiment de haine, de douleur, de souffrance. Bien souvent un nom est prêté à ses choses. Lucifer… Arro sur le baudet s’écrièrent les hommes et les anges la l’évocation de ce nom. Pourtant, était-ce ca faute si les humain était si corruptible ? Dans le font, il n’y aurait pas de héro si il n’y avait pas d’ennemi. Ressentant le plein potentiel de cette nouvelle puissance, il reprit.

J’ai hâte de visiter votre Labyrinthe messire. Peut-être y aurait-il même un siège pour moi quand pensez-vous ?

Glissant sinueusement près de la nymphe pour lui souffler dans le cou, seul un frisson laissa la trace de l’expiration de Lucifer sur la peau blême de la demoiselle. La tentation ? Qui avait il de mal là dedans ?

Il est dommage de laissé une si jolie créature mais après tout, puisqu’il le faut. Je suppose que vous êtes étonné de ce changement non ? Pourtant, ce n’est pas si incompréhensible. Le serpent n’est il pas mon allier ?

Castellion était vraiment pressé de visiter le Labyrinthe. Après tout, s'il était une ange déchu alors il était un allié des titans et même faisant parti de leur groupe.

Un siège ? Ce que pensait Crios se confirmait de minute en minute. La puissance du spectre augmentait sans cesse. Si elle continuait à augmenter à ce rythme alors dépasserait même celle de Crios et dans ce cas là cela voudrait dire...

Crios observa le manège de Castellion avec la nymphe avec toujours autant de calme. Le titan ne laissait rien passer de ce qu'il pensait.

Il est dommage de laissé une si jolie créature mais après tout, puisqu’il le faut. Je suppose que vous êtes étonné de ce changement non ? Pourtant, ce n’est pas si incompréhensible. Le serpent n’est il pas mon allier ?

Le serpent...Castelllion était Lucifer, le chef des anges déchus. Crios se demanda comment tout cela aller se passer chez eux avec Cronos à la tête de tous.

*Bah ce n'est pas mon problème.* songea-t'il.

Crios n'acceptait que les ordres qui lui convenait, aussi seul Cronos parvenait à lui en donner de temps à autre. Sinon c'est lui qui en donnait.

Crios s'adressa alors à Castelllion.

"Si je ne me trompe pas sur qui vous êtes réellement alors sachez que deux de vos chevaliers sont déjà au Labyrinthe."

Le titan se leva et parla avec franchise.

"Vous êtes Lucifer en personne. J'ignore comment se passera la cohabitation au Labyrinthe. Les titans seront heureux de vous avoir à nos cotés. Vous êtes un dieu et par votre rang vous êtes supérieur, mais méfiez-vous. Tous les titans n'accepterons peut-être pas d'ordres émanant de vous. J'ai de la sympathie pour vous aussi je préfère vous prévenir. Sachez aussi que je ferai parti de ces titans. J'ai un sens particulier de l'autorité et seul Cronos parvient à m'en donner parfois. Mais dans tous les cas, vous aurez votre place au Labyrinthe et votre siège."

Crios regarda alors une pendule dans l'appartement du juge. Beaucoup de temps s'était passé et aucune nouvelle d'Hadès. Cet entretien ne viendrait jamais et le titan était trop resté ici. Il n'y avait eu aucune nouvelle de Japet. Crios avait en charge le Labyrinthe pendant la visite de Cronos chez Eris. Il devait rentrer.

"A mon avis Hadès ne me recevra pas de si tôt. De plus Cronos étant en voyage diplomatique je suis en charge de diriger le Labyrinthe. Je ferai mieux de rentrer. Qui sait ce qui se passe au Labyrinthe. Si vous le désirez toujours vous pouvez m'accompagner. Je reviendrai plus tard voir Hadès."

Crios ouvrit alors une porte dimensionnelle sur le Labyrinthe et invita Castelllion à l'emprunter du moins s'il le voulait.

Temple de Japet

Ils arrivaient enfin dans sa demeure, loin des combats et des conflits, loin des humains, un magnifique endroit pour se reposer et se ressourcer: Les champs Elysées le domaine du grand blond immortel ...

Il tenait Agapée , et la serrait à nouveau contre lui, son geste fut rendu, sa disciple entoura ses bras autour du juge montrant qu'elle se sentait bien. Elle en avait lourd sur le coeur et parlait avec sincèrité. Rhadamante le sourire au lèvre lui mettait son doigt devant la bouche comme pour l'inciter à ne pas parler, il lui chuchota :

'' Economise tes forces nous sommes arrivés, tu va être soignés et je resterais à tes côtés, je répondrais à tes voeux une fois que tu sera remises sur pieds..''

Le juge lui souria et entra dans son domaine. Son valet personnel et deux nymphes suivait le juge immortel sans plus attendre, ils prenaient la direction de la salle de soin, qui se trouvait dans le batiment Ouest en face de la salle de combat et la salle de repos...

Il posa délicatement sa disciple sur le lit, ses nymphes lui enleva son surplis à fin de mieux examiner et de mieux soignée cette plaie... Le fils de Zeus se mettait sur le côté et enleva lui aussi son surplis, ses vêtements était légérement fissuré et déchiré suite à son combat mais ses blessures était superficielle comparée à Maya.
Sa capacité à régénérer était incroyable et les blessures profondes qu'il avait reçu des griffes du tigre vicking avait en grande partie disparu.

Les nymphes avaient un pouvoir de soin peu connu mais trés efficaces, Le juge de la Wyvern avait eu la vie sauvée grâce à elle plus d'une fois et il ne doutait pas qu'elles étaient capable de miracle...
Rhadamante se posa à coté du lit et prenait la main de sa disciple :

'' Ce ne sera pas douloureux dans quelques minutes le mauvais sang sera ejecté de ton corps et la plaie aura disparu ''

Les nymphes se mettaient au travail avec beaucoup d'effort et de volonté !
Le juge constatait que le sang de fafnir sortait petit à petit, une des nymphes installa un bocal de médecine à fin de garder le sang de l'Ase, cela pouvait toujours être utile... Il faisait signe à son valet de prendre le gobelet et de le mettre dans sa chambre à l'étage...

Il caressa ses longs cheveux alors que ses nymphes faisaient un travail remarquable, et aprés quelques minutes la plaie avait totalement disparu !

PLus de peur qu'autre chose voiçi une bonne chose de faite, en revanche ses signes vitaux étaient assez faible suite à son combat, il fallait qu'elle se repose....
Le juge immortel tappa des doigts et une nymphe entra avec un magnifique plateau. Sur ce dernier il y avait toutes sortes de breuvages et un copieux dinner.

'' Sa y est c'est fini, je suis fier de toi ! Il faut que tu prennes des forces maintenant et que tu manges ''

Le juge avait lui trés soif et prenait un verre sur le plateau :

'' Tu veux m'accompagner voir les titans ? le temps que tu te remettes sur pieds ? Ou préféres tu resté te reposé içi ? Partir au sanctuaire sous marin n'est peut être pas la meilleure des solutions tu sais ...''

La dyade Méphistophélique ne mit point de temps avant d’arriver dans le domaine de Rhadamanthe. Gardant les yeux ouverts, de légers soupirs s’envolèrent de ses lèvres pulpeuses. Un peu gênée par le sang qui ne lui appartenait pas, ses lippes bougèrent un instant pour justifier sa peine. Mais l’index de son Sauveur se posa contre sa bouche rosée, imposant d’une si délicieuse façon le silence. Des petites étoiles semblaient tourner autour de ses iris, alors que les deux satans se regardèrent à ce moment là. Agapée aurait juré avoir quinze ans, et d’être en face d’une personne très chère à ses yeux. A qui l’entéléchie serait obéissante, et offrirait ses services sans rien demander en retour sauf sa protection. Pourtant la Vouivre avait échoué, mais la guérirait de ses plaies. Hochant la tête en signe d’approbation, ses mains serraient un peu le surplis de la Wyvern. Ses plans seraient effectifs plus tard, et la dryade expliquerait tout à son maître bien-aimé.

Un peu madrée sur les bords, la blonde regarda aux alentours. Deux diaboliques Nymphes avec un valet personnel semblait suivre Rhadamanthe dans une salle de soin. Allongée sur un lit moelleux, son léger surplis fut retirée de sa chair encore immaculée. La toge protégeait la demoiselle de sa nudité, alors que les demoiselles s’occupaient de ses plaies. Serrant un peu les dents, sa main fut attrapée par celle de son maître, à qui la demoiselle adressa un très faible sourire. Dans quelques minutes le mauvais sang serait rejetée ? Soulagée, Maya serra un peu plus cette main beaucoup plus large que la sienne en guise d’approbation.

« - Je te crois alors … »

Tout le sang maudit fut évacué de son corps, laissant à la jolie donzelle le temps de ne plus se sentir souillée. Tremblotante, son minois se réfugia un peu plus sur le coussin alors que ses mèches furent caressées par les mains de son maître. Satisfaite de cette attention, la délicate possédait des cheveux de blés, au parfum aussi enivrant qu’envoûtant. Se redressant pour s’asseoir une fois la nourriture arrivée, Agapée remit ses cheveux en place. La tendresse n’excluait pas les bonnes manières, prenant tout de même un gâteau pour le dévorer. Reprendre des forces et manger … Ses muscles étaient légèrement engourdis, mais la maîtresse des dimensions récupérait aussi vite. Observant de haut en bas le corps de son maître sans son surplis, un peu de rose couvrit ses joues. On aurait dit que Michel Angelo l’avait sculpté tant ses traits étaient parfaits. Pourtant Sir Crios n’avait rien à envier au blond, mais il fallait reconnaître que la virilité ne la laissait pas stoïque. Au contraire, son envie d’être protégée grandissait et de se réfugier contre un torse large, quand sa peine lui paraissait insupportable.

« - Vos gâteaux sont très bons, félicitations aux cuisinières ! Si je me repose trop, je ne dépenserais pas ce que j’ai consommé … et je risque d'abimer mon corps ... »

Un peu plus espiègle, la protégée de Rhadamanthe leva les épaules pour se montrer. Une poitrine très forte lui apportant sa sensualité et maternité, ainsi qu’une fine taille soutenant des hanches rondes avec des cuisses fermes, et galbées. Les richesses des Enfers transparaissaient sur elle, avant de reprendre une dernière pâtisseries pour la route, en s’abreuvant d’eau. Assise sur ses mollets en face de son maître, ses doigts se posèrent sur les blessures superficielles.

« - Vous guérissez bien vite … Mais j’ai perdu beaucoup de sang vous savez, j’aurai besoin d’une transfusion tôt ou tard, pour être en pleine forme. » Une demande implicite de prendre son sang, mais Agapée n’oserait pas le proposer. Reprenant une autre de ses mains, ses doigts entrelacèrent ceux de son maître avec une douceur incomparable.

« - Je préfère vous accompagner, et vous suivre où que vous alliez si cela ne vous dérange pas. La fatigue ne m’assommerait pas car j’ai eu le temps de me reposer dans vos bras. Mais je dois vous dire quelque chose ... » Une expression similaire au bonheur, avant de s’assombrir encore une fois. A la remarque au niveau du sanctuaire de Poséidon, se promener dans ce terrain maintenant serait une bien mauvaise idée… Mais Maya avait un bien dangereux secret. Se blottissant sans prévenir contre son torse, sa main se posant contre son épaule. Sa respiration s’accélérait, sa poitrine se soulevant de plus en plus vite sans sortir de son décolleté.

« - Ma cousine ….. Je suis affiliée à Léna qui est la réincarnation de Poséidon. Nous sommes cousines … et sommes liées. Je dois la voir pour obtenir quelque chose. Après notre guerre à Asgard, cela n‘aurait aucun sens, il se pourrait que je lui rende visite plus tard. Je suis la seule à pouvoir la convaincre, au niveau de ses rapports avec les Enfers … Pour un Pacte de Non-agression Temporaire. Je pense aussi à une immunité diplomatique avec le Camp de Poséidon hors guerre sainte pour nous deux Rhadamanthe, mais j‘ai besoin de ton aval …»

Faire à ce que Poséidon ne les attaque pas même en temps de guerre sainte, serait important pour les spectres qui se sont faits plus d’alliés que d’ennemis. Mais c'était surtout l'immunité qui l'interessait. La demoiselle avait la tête baissée, et une mine triste. Au fond, le spectre céleste reconnut avoir cacher des choses à la Vouivre, mais s’apprêtait à distiller les informations. Pour l’immunité chez Poséidon, quoi qu’il advienne la belle le ferait pour protéger son sauveur. Où en était Kyrian ? La Vénusienne Abismale craignait pour ton tout petit et ce tracas se lisait sur son visage. Et la déesse Perséphone, son doux cosmos ressemblait au sien, laissant d'autres interogations en suspens. On pouvait deviner ses remords, et des regrets. Au fond d'elle même, Agapée crut descendre dans l'estime de son maître, ou de l'avoir trahi. La secrète spectre ne cachait pas son jeu, et espérait un jour tout connaître d'elle.

Doucement mais surement Agapée retrouvait ses forces. Elle était maintenant guérie grâce au savoir et la sagesse des nymphes. Elles avaient encore une fois fait du grand boulot et Rhadamante ne les remercieraient jamais assez pour leur dévouement.

A la suite des soins, elle suivait le conseil du fils de Zeus et mangeait, mais la suite lui était totalement mystérieux. Il écouta attentivement les dires de sa disciple et resta perplexe... Comment un spectre pouvait avoir de la famille dans d'autre royaume ?! C'était la première fois qu'il entendait cela. Autant pour les dieux avoir des frères et soeur dans chaque royaume était logique et normal, mais autant pour des guerriers mais surtout les spectres c'étaient invraisemblable, malgré qu'il soit de nature humain ou démon, les étoiles spectrales ont été coupé du monde il y a fort longtemps, et avoir des liens avec les royaumes extérieures étaient trés rares....

'' Soite si tu veux partir chez Poséidon alors vas-y mais tu n'iras pas seule dans cet état, quelqu'un t'accompagnera, tu demanderas un pacte de non agression de la part du sombre monarque, et tu pourras t'entretenir avec cette Lena dont tu m'as parlés...''

Sans plus attendre le juge immortel prenait son armure et commençait à partir

'' Si tu veux d'abord resté te reposé cela ne pose aucun problème ou si tu veux m'accompagner prépare toi rapidement je reviens tout de suite... Je dois rendre visite Cronos et Crios''

Le juge de l'étoile forte et violente s'empressa d'aller dans ses quartiers privées à fin de changer ses vêtements déchirés, il voulait analysait le sang de fafnir et de garder précieusement le bocal... Cela aller être plus qu'utile pour la suite des événements...

Se décalant un peu, l’impressionnante dryade n’avait plus faim. Une impression de satiété l’avait prise, alors que délicatement le demoiselle reprenait son armure qui recouvrit tout son corps. Telle une seconde peau, s’habituant encore à l’espiègle spectre. Finissant alors ses dires, ses yeux clairs ne quittèrent plus son maître pour écouter ses directives. Cette fois, elle le vouvoierait avec l’immense respect qu’elle lui vouait depuis bien longtemps. Il devait trouver son histoire perplexe, voire illogique … Mais Agapée ne mentait aucunement. Elle et l’actuelle réincarnation de Poséidon de leur vivant était de la même famille. Cependant, la chair de Léna devînt le réceptacle du Dieu des Flots. Cette situation agaçait quelque peu Maya, n’aimant pas du tout avoir à faire à ce genre de situation. Sinon cette étoile spectrale n’était guère affiliée à celle de Poséidon, juste le grand hasard. Déjà prête, le spectre céleste de la machination ne perdrait pas de temps en préparation pour ne pas ralentir son maître. Et plus tard, elle lui expliquerait la nature de son lien, avec sa cousine.

« - Je m’entretiendrais avec Léna accompagnée de Dame Perséphone mais pour l’instant, je ne pense pas que cela soit la meilleure solution. Mauvais pressentiment de ma part je pense. Sinon je vous accompagne pour rendre visite à Crios et Seigneur Cronos, je suis dans un meilleur état ne vous inquiétez pas. »

Agapée n’avait pas besoin de porter mille bijoux, son surplis lui servant juste de vêtements. Ayant pris soin de ranger la belle toge Olympienne, Maya remercierait les Nymphes diaboliques qui s’étaient occupées d’elle. De son côté, sa réflexion ne cessait de la tirailler, mettant à exécution son nouveau plan. Pendant ce temps, le surplis de Janus brillait de plus en plus pour l’avertir. Maintenant la demoiselle rencontrerait le maître du Temps, et se comporterait d’une bien exemplaire façon. Fermant avec une grande délicatesse ses paupières à présent seule dans la pièce, l’incroyable demoiselle regardait les décorations. Une telle chambre lui rappelait cette immense tour spacieuse, où le monde la rejetait et ne désirait plus d’elle. Pourquoi sa mélancolie la reprenait dans les pires épreuves ? Celle qui était Orpheline se remit donc debout avec une expression proche du marbre en l’attente de son maître valeureux. Il était temps d’agir sérieusement, regardant le dernier détail de ses collants blancs. Droite, elle regretta de ne pas avoir pris un kimono, mais son préféré aurait été disgracieux sur son armure.

« - Je suis prête à présent et suivrais vos instructions à la lettre Ma Seigneurie. »

Respectueuse avec le protocole, Agapée savait comment agir dans ce genre de mission.

*Venu de "Rassemblement et fin du conflit"*

Le jeune Knouge apparut devant le palais de Rhadamanthe. Son corps n'était pas couvert d'une toge noire, mais belle et bien de l'armure du Griffon, qui brillait toujours intensément - les dommages qu'elle avait subit lors de la bataille avec Baldr étaient ridicules, il y avait à peine une égratiniure sur le casque qui était à peine visible. Même le porteur de l'armure était presque en pleine forme. Tout de même... il aurait voulut faire hurler son adversaire de douleur jusqu'à ce qu'il rende l'âme, mais non! Hadès était intervenu! Le Griffon ne pourrait jamais pardonner cet acte, pas même si Hadès se mettait à genoux pour le supplier de le pardonner. Jamais le Titan des Enfers ne pourrait oublier cet affront commis sur sa personne... ça, et le fait que, apparemment, il commençait à perdre sa confiance aux Juges. Mais ça, l'humain était peut-être le seul des trois à s'en soucier le moins, comme il était le seul des trois à se balader avec son armure et pas avec un habit noir.

Knouge leva la tête et admira le palais de son collègue de la Wyvern, qui avait un je-ne-sais-quoi de plus chaleureux que celui de Kazuki. Le jeune homme s'avança, et un des nombreux serviteurs de son homologue apparut rapidement pour l'acceuillir. Mais le Griffon ne lui laissa pas le temps de parler, et dit immédiatement:

"Annonce Knouge, Juge du Griffon à ton maître. Vas!"

Son ton était autoritaire et résonna autour des Enfers. Il crut même voir le serviteur trembler légèrement... apparemment, il était plus énervé qu'il le pensait. Le servant disparut, et Knouge croisa les bras en attendant la réponse de Rhadamanthe. Il n'était pas entré directement car, qui sait, il était peut-être occupé à faire autre chose. De plus, le Griffon trouvait malpoli de ne pas traiter ses collègues avec le respect approprié. Oui, Kazuki et Rhadamanthe... les deux seules personnes au monde qui réussisaient à faire agir le Griffon comme un gentleman.

La sérénité d’Agapée contrastait réellement avec sa nervosité. Habile dans l’art du camouflage, l’Impassible entéléchie de la magnificence attendait son maître. Il se pourrait que son précepteur prolonge ses activités dans ses appartements personnels, le spectre céleste de la Machination s’ennuyant un peu. Puisque l’ennui s’accaparait de son vibrion esprit, la Pulpeuse naïade devant la mafflue Nymphe des Enfers. La Luciférienne et magnanime servante de Rhadamanthe remercia les esclaves de leurs talents curatifs. Une sombre idée la prit, mais ne saurait se réaliser sans la présence du bocal se trouvant à l’étage.

Alchimiste de renom, ce sang aurait pu lui servir d’ingrédients pour ses formules bien tard. Il se pourrait que la flavescente demande l’autorisation à la Vouivre, puisque la récolte ne put se faire que par l’intermédiaire de son corps. Désirant servir Rhadamanthe, le sibylline sortit donc de la pièce en mettant mieux ses porte-jarretelles et collants. De superfétatoires attributs qui lui conféraient sensualité et élégance dans un milieu dirigé par les Hommes. Un peu plus concentrée une fois en meilleure forme, l’Insolente sentit la cosmos énergie du Griffon. Son devoir était de l’accueillir le temps que son maître se présente. Prenant très à cœur cette fonction, Agapée demanda à une donzelle de lui fournir un large kimono pour le recevoir.

Exceptionnelle Affidée, Maya se retira de la Chambre pour faire face au bel Homme. Passant ses mains sur les effrayantes colonnes, le saphir déambula dans une lente marche. Aucun mot à Knouge qui semblait réellement énerver, se faisant aussi discrète que possible. Cependant cette descente n’avait comme unique but de distraire le brun, l’ayant sans doute remarquer lors du sauvetage de Belgarath. Toutes ses blessures furent effacées, laissant alors la peau nue resplendissante dans les nuitées éternelles des Enfers. Pourquoi ne pas le proposer de l’escorter ? Reluquant la carrure Imposante de Knouge, Maya se donna une limite à ne pas franchir. Ne jamais toucher un mâle, ou proposez ses services honteusement. A quelques mètres de lui, la tendre demoiselle avait pu croiser dans sa sortie un pauvre serviteur. Une voix bien douce, limite aussi caressante que les mains d’une courtisane sur la nuque de son client :

« - Bien le Bonjour ma Seigneurie. Un des envoyés de monseigneur est venu lui annoncer la nouvelle. »

La joie linéamantait ses traits, marchant donc vers l’incroyable Griffon. Main contre son sein, là où se cachait son cœur.

« - Laissez-moi vous tenir le temps de l’attente qui sera bien brève Messire … »

Quelques beautés étranges entouraient les Enfers, Maya faisant partie des vénéneuses. Ni une Veuve Noire, ni une dame vénale … juste une femme qui savait s’occuper des Hommes sans vulgarité. S’inclinant avec humilité, la demoiselle n’ignorait pas le pouvoir des Juges des Enfers et leur adressait le même respect malgré son rôle clé à jouer.

Knouge attendit quelques secondes, en attendant une réponse d'un des servants de Rhadamanthe. Et quelle ne fut pas sa surprise, quand il fut accueulli, non pas par une sorte de squelette ou par un démon à cornes, mais par Agapée, spectre de la Machination et l'une des seules femmes spectres, avec Natsuhi et Morrigan. Cependant, cette dernière avait apparemment disparue après la guerre, et était donc sûrement morte, ou aux mains des Ases à l'heure qu'il était. C'était un terrible destin, mais pour le moment, le Griffon s'en fichait éperduement, et était même plutôt mécontent. Il était venu pour parler à Rhadamanthe, pourquoi diable venait-elle donc? Enfin, au moins, il pourrait passer le temps à faire autre chose que de croiser les bras et d'avoir l'air maussade. Il bougea légèrement son casque, mais garda la pose.

"Très bien... Agapée de la Machinerie," dit-il de sa voix grave et calme habituelle. "Si Rhadamanthe t'as confié cette tâche, je suppose que tu es quelqu'un de confiance, hmm? Les Juges n'ont pas pour habitude d'engager des simples spectres afin d'effectuer des tâches comme celles-ci pour eux. Sois honorée."

Après quelques compliments, ou tout du moins ces mots avaient-ils la forme de compliment, mais, avec son ton si neutre, il était difficile de juger, la dernière partie de la phrase ressemblait clairement à un ordre. Après tout, Knouge était connu pour être l'un des Juges les plus détestables, et il le savait. Et il en était content. Le Griffon avait donc une réputation à garder. Il resta là, les bras croisés, aucun sourire sur son visage, son cosmos n'émanant pas vraiment des sentiments distincts. Le Titan était extrêmement doué avec son énergie, aussi pouvait-il la manipuler à souhait.

Analysant scrupuleusement ce Juge sans foi ni Loi, Agapée put brièvement le décrire. L’absence de morale de Knouge, ainsi que son sadisme bien imprévisible l’avait rendu détestable. Était-ce son immense pouvoir ? Ou son ego démesuré qui fit de lui un être abject ? Sa mentalité profilait des informations soigneusement distillées, et son goût pour la torture. Surtout la domination sur autrui pour en faire le pantin de son désir. Écoutant soigneusement ses réponses, ses sourcils ne se froncèrent pas à l’évocation de la machinerie ? Avançant donc pour tenir son bras, la mystérieuse ne perdit pas une goutte de ce flot de paroles. Rhadamanthe la considérait comme une studieuse élève, l‘unique comme elle aimait se le répéter. Ses yeux brillaient de malice presque, alors que ses doigts resserrèrent doucement cette partie de Knouge. Honorée de lui tenir compagnie, bien sûr que son minois linéamantait sa joie construite de toutes pièces. Évitant la stupide niaiserie, jubilant d’être aux côtés du Trio Infernal d’Origine. Son autre main effleura l’autre partie du bras avant de rompre brutalement cette attention digne des courtisanes. Un homme de sa trempe était assez instable, et son humeur pouvait le conduire à une attitude irrespectueuse. Est-ce que Rhadamanthe accepterait un tel comportement dans sa maison ? Que l’on traite la donzelle pire qu’un déchet ?

« - Nous n’allons pas rester dans le froid Monseigneur ? Laissez-moi vous conduire dans la salle à manger de Mon Seigneur Rhadamanthe le temps qu’il arrive et vous réserve un accueil digne de vous. »

Le guidant avec calme et classe, un hochement de tête invita les Nymphes à s’occuper de la nourriture, et surtout des alcools forts. Lui indiquant un place en tendant son bras, son kimono tombait sous ses hanches, afin de ne pas emprisonner ses attributs. Knouge l’avait certainement connue dans le Royaume d’Aphrodite, sous les traits d’un éphèbe assez androgyne. Cependant il s’agissait bien d’une superbe demoiselle aux formes généreuses, et à la blondeur éclatante. Servant donc la nourriture avec les autres Nymphes du Domaine, Agapée leur donnait uniquement des ordres pour mieux servir le Griffon. Elle aurait pu être une excellente maîtresse de maison, faisant attention à l’intensité du chauffage. Tout pour ne pas le contrarier, sans montrer la moindre crainte. Tant pis s’il se comportait comme un malpropre, la Machination accepterait la punition sans broncher. Pour qui touchait son cœur, l’Impossible pouvait être fait pour eux. Pour l’instant, le lien de disciple à élève avec Rhadamanthe imposait des limites que la sibylline ne dépasserait jamais. Le rôle de marionnette pourrait faire sourire la stylite Cérès, en permanence sur ses gardes. Kyrian fut le seul avec qui le mot « retenue » n’existait plus, engageant un lien fusionnel avec un soldat d’élite. Entre eux deux, le mot « Impossible » n’existait plus. Autrefois Morrigan y eut droit et aurait pu faire d’elle ce qu’elle désirait. Arriver à s’attacher à la Machination n’était plus impossible … Mais posséder sa confiance totale un combat perdu d’avance. Comme la Succube disparut et que le Phoenix Noir était envoyé en mission, il n y avait que chez Rhadamanthe où elle trouva un refuge. Et si son sanctuaire se trouvait autre part … La splendide y vivrait pour sa sécurité avec ceux qui ont accepté de l’aimer, et ne veulent plus la quitter. Cependant par respect pour la Vouivre démonique, La machination finirait sa fonction avec brio.

« - J’espère que ses plats vous conviendront ! Mais je connais un remède pour vous réchauffer après le Froid D’Asgard ! »

Sortant une bouteille de sa lourde poitrine, le malheureux éthyle fut enfin découvert. Servant donc un verre à Knouge, celle-ci attendit que le réceptacle se remplit avant de le proposer au Griffon. La bouteille retourna dans son décolleté, conservant un apparat digne de Vénus.

« - Je souhaite ardemment que vos papilles en apprécient l’intensité. Il est très fort, aussi violent qu’une éruption volcanique. »

Dans l’attente d’une réponse, le plateau fut posé à la droite de Knouge, avant de s’incliner face à lui. Charme, respect et soumission totale à l’Invité d’honneur.

Sujet: Re: Domaine de l'Etoile Forte et Violente: La Wyvern

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