Arès, Dieu de la Guerre et de la Destruction [ok]

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Hola, je suis Julien, 20 ans, fan de Saint Seiya, que dire que dire, je vais essayer d’être à la hauteur ><. Bon, si je dois en faire plus dites le ! Je suis pas avare . Je suis très motivé par Arès, même s'il n'a pas de chevaliers Arès, Dieu de la Guerre et de la Destruction [ok] 2990258427

Arès, Dieu de la Guerre et de la Destruction [ok] 2990258427

par contre, j'ai pas trouvé d'avatar....Si quelqu'un pouvait me faire un kit d'Ares ( version sacred saga ) Merci, enfin je suis pas encore accepté.

Arès, sa mythologie :

Arès est le dieu de la brutalité et du carnage. Il va au combat accompagné de sa sœur, Éris (la Discorde), ses fils Déimos (la Terreur) et Phobos (la Panique), ainsi que d'Ényo, déesse des bataille. Traditionnellement, les Grecs interprètent son nom comme un dérivé du mot « tueur ».
En tant que tel, il est haï des autres dieux, en particulier Zeus, lequel lui déclare dans l'Iliade:

« Je te hais plus qu'aucun des dieux qui vivent sur l'Olympe
Car tu ne rêves que discordes, guerres et combats. »

Héra, sa mère, ne l'apprécie guère plus, dépitée qu'elle est de le voir prendre parti pour les Troyens pendant la guerre de Troie. Elle déclare pareillement à son sujet:

« Zeus Père, n'es-tu pas outré des sévices d'Arès ?
Combien de braves Achéens n'a-t-il pas fait périr
À tort et à travers ! J'en suis navrée, et cependant
Aphrodite et Apollon à l'arc d'argent sont tout heureux
D'avoir lâché ce fou qui ne connaît aucune loi. »

Athéna, déesse de la guerre comme lui, représente la bataille ordonnée, alors qu'il représente le carnage. Les deux dieux se haïssent particulièrement. Devant Troie, elle incite Diomède à le frapper, et lui jette elle-même un gros bloc de pierre, qui l'atteint au cou. Il faut dire que, seul parmi les dieux, Arès prend part personnellement au combat, et ne dédaigne pas de dépouiller Périphas de ses armes), à l'instar d'un mortel.
Seule Aphrodite témoigne de l'affection à son « bon frère » qui selon d'autres légendes est également son amant
Son nom désigne toute forme de mort violente, et plus particulièrement la peste.
La guerre est surnommée « danse d'Arès » dans les épopées. Les Grecs voient en lui le « dieu des larmes ». Seul l’Hymne homérique qui lui est consacré, sans doute tardif, le montre sous un jour bienveillant et le nomme :

« Cœur hardi, porteur de bouclier sauveur des cités, coiffé d'airain,
Aux mains robustes, infatigable, fort par la lance, rempart de l'Olympe,
Père de la Victoire, heureuse conclusion des guerres, auxiliaire de Thémis ;
Maitre absolu de l'adversaire, guide des hommes les plus justes. »

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La pièce était totalement noire, pas une source de lumière ne daignait éclairer l’endroit, ici, les voyants étaient aveugles. Pourtant, on pouvait deviner des colonnes, balisant une sorte de chemin pavé jusqu’à un trône ou de pales reflets d’une antique armure jouait à tromper les ténèbres.
Ce qui était plus oppressant que cette absence de lumière, c’était l’ambiance même de l’endroit, pas un bruit, rien, même pas une légère brise, un courant d’air, tout semblait mort, aucun rongeurs pour faire un bruits, cette pièce était dépourvu de vie… Depuis des siècles et des siècles, elle n’a connue la vie…
Pourtant, aujourd’hui…
Un son, tel un fantôme, la brise venait de s’infiltrer par une fissure oubliée, cette brise parcourit la pièce avant de s’arrêter au trône et de nouveau plus rien et puis un autre son, celui d’une respiration, elle était lente, saccadée, c’était étrange d’entendre pareil son dans cet endroit. Vint ensuite un tintement et une détonation, lentement, les torches s’allumèrent une à une, la lumière refaisait son apparition ici et enfin les yeux pouvaient comptempler une salle magnifique, faite de marbre noir, la pièce regorgeait de magnifiques armures antiques faites par des mains habiles, les sources de lumières redonnaient vie à cette pièce, les fresques depuis longtemps cachées par la nuit perpétuelle de la salle se découvrirent, montrant de scènes de combats épiques venu d’un autre temps. Mais malgré toute la beauté des armures et des fresques disposés un peut partout rien n’égalait celles prêt du trône, elles étaient au nombre de quatre, mais c’était celle installé sur le trône qui était la plus merveilleuse, elle était d’un orange flamboyant, les lumières semblaient danser sur elle, elle était digne des dieux, à côté se trouvait un large bouclier frappé du soleil ainsi qu’une lance ou un saphir était incrusté, elle était sans égal et à elle seule elle éclipsait toutes les autres.
C’est alors que quelque chose se produisit, le plastron de l’armure se souleva lentement puis régulièrement, il semblait qu’elle était vivante…
C’est alors qu’une voix s’éleva dans la pièce.

« Je suis de retour… »

Cette voix était choquante, choquante car si belle, elle semblait être totalement déplacée par rapport à l’armure d’où elle venait, lentement la dite armure se leva, son porteur avait toujours son visage caché par son casque mais aussi par le peu d’obscurité qui restait. Le casque se tourna alors vers les armures à ces côtés.

« Mes fils Déimos de la Terreur, Phobos de la Panique, et toi Ényo, déesse des batailles, ma fille, n’êtes vous pas réveillez ? Et Éris ! Toi ? Pourquoi n’es tu pas là ? Pourquoi n’es tu pas venu accueillir ton frère, moi ARES !!! »

La si belle voix fut déformée par la colère et frappant le sol, un large cratère se forma sous ses pieds, Arès, Dieu de la Guerre et de la Destruction venait de se réveiller, toute la haine qu'il avait accumulé durant des siècles put enfin sortir.

« Et vous fidèles chevaliers ! Pourquoi n’êtes vous pas ici ?! »

D’un pas sur, Arès descendit les marches du trône, admirant cette antre ou il fut emprisonné, car oui, il avait été trahi par sa famille, tous le méprisait, lui, il avait été enfermé ici, dans ce palais mortel ou pas même un brin d’air ne devait le satisfaire mais aujourd’hui il était revenu à la vie, il sentait l’air emplir ses poumons, il était prêt. Prêt à accomplir sa vengeance, car si il était Dieu de la Guerre et de la Destruction, il était aussi celui de la Vengeance, et celle ci allait bientôt s'abattre.

« Toi Athéna, tu te crois supérieur à moi ? Tu oses te dire Déesse des Combats ? Seul un Dieu peut être porteur des armes et des guerres, et c’est moi !!! Et toi père, oui toi Zeus, tu me disais que je te faisait honte ? Ne suis-je pas né pour porter l’oriflamme de la Guerre ? Ne suis pas comme je devais être ? Et que dire de toi, Dieu des Dieux, celui qui ne fait que de courir d’aventure en aventure ? Tous, vous me haissez ! Moi je ne cherche que votre clémence et votre amour !! »

Cette fois ci, Arès envoya sa lance fracasser la lourde porte en bois qui vola en éclat laissant un éclat solaire ardent pénétrer la salle.

« Mais je suis de retour, croyez moi, je n’aurais pas de pitié pour ceux qui m’on bafoué, craignez ma colère…. »

La voix se calma et Ares regarda autour de lui avant d’enlever son casque laissant apparaitre un visage sublime et fin, bien loin d’un visage de guerrier. Il avait de longs cheveux châtains, descendant un cascade sur son armure, il avait des yeux dur et froid, c'était un guerrier beaux, comme tous les autres Dieux.

« Mais je suis trop faible…. Où sont mes chevaliers ? Mes merveilleux combattants ? Mes immortels ? Et ma progéniture ? Pourquoi n’êtes vous pas là ? Suis-je seul ? Je sens l’appel des combats et du carnage, ils se font la guerre, tous, je ressens les cosmos de forts chevaliers, hardis à vous, combattez avec honneur et couvrez vous de gloire ! Ceux qui veulent me rejoindrent, venez à moi, moi Arès, je vous donnerais la gloire éternelle ! »

Sur ce, Arès, s’avança vers la lumière et sa nouvelle vie puis il s'arrêta juste à l'entrée fracassée et se retourna vers son trône,, il prit sa lança et la pointa dans la pièce et une puissante décharge de cosmos emplit l'endroit et lorsqu'il disparut, toutes les armures bougeaient légèrement ce qui fit sourire Arès.

*Bientôt, vous reviendrez à la vie, vous me couvrirez de gloire en combattant les chevaliers de ma famille amis aussi des autres,, Force et Honneur...*

Et Arès disparut de ce temple maudit, laissant sa cour prendre petit à petit vie, ou allait il ? Surement en Olympe, parler à son père, ou peut être voir Éris qui sait ? Mais tous devaient avoir eu vent de son retour, certains peut être préparaient déja des plans pour se défendre du courroux d'Arès