Fulgrim, maître d'arme de l'épée

Chassant ses draps avec fureur Fulgrim s’éveilla en sueur : "Ce n'est pas possible... pas encore..." Désespéré, il contempla son oreiller taché du sang péniblement crachés dans son sommeil le tirant par intermittence de ses cauchemars, comme si des dizaines de lames enfoncé dans sa gorge l'écorchais au moindre souffle. Cela fessait maintenant des mois que le maitre de la maison Phoenicia ne trouvait plus le repos, comme hanté par des visions toujours plus tortueuses de débauche et de massacre. Les médecins et guérisseurs en tout genres se pressaient nombreux à son chevet, mais rien n'y faisait : aucun ne semblait trouvé l'origine de ce traumatisme, d'autant plus que les effets n'en était pas que psychologique.

Agé pourtant de 25 ans et par la même un homme fait depuis longtemps, le jeune seigneur quitta son lit et campa son corps nue devant son imposant miroir cerclé d'or. Pour autant que les répercussions de cet étrange mal menaçait de réduire à néant son esprit, son corps lui ne s'en était jamais porté aussi bien : son allure gracile et svelte, s'était renforcé de la musculature sèche et tonique d'un fauve, contrebalançant l'étrange aspect androgyne que lui donnait à présent la pâleur de ses traits et le discret rosé de ses lèvres.
Fulgrim, avait toujours aimé son visage hérité de sa mère, élevé dans la complaisance la plus total de par son physique d'adonis et son intellect supérieur il n'y eu rien dont le jeune aristocrate se soit jusqu’à maintenant amouraché plus que son image et même d’avantage doté de ses nouveaux attributs.  Preuve en était, rien non plus ne lui avait couté plus cher que cet imposant miroir, son cadre d'or incrusté de diamants, modelé a l'apparence d'un gigantesque aigle dont les yeux étaient enchâssés de deux rubis.

Exécutant des pas de danses gracieux et délicats, tel que si il avait cherché à séduire une dame l'aristocrate posa ensuite ses paumes contre ses joues, flattant de la, tout doucement le reste de son corps du bout de ses doigts.
"Pourquoi, pourquoi dois-je souffrir autant moi dont le sourire à la grâce des anges et le regard l'éclat du soleil... Ma beauté est elle comme celle des roses à son zénith avant son inévitable et dégoutante flétrissure?
-Il faut bien à la chenille se débattre, avant d’émerger sous l'apparence d'un papillon."

Surpris, le corps entier de Fulgrim se raidit, comme pris sur le fait d'un infâme forfait. Saisissant rapidement un poignard posé sur sa table de chevet l'éphèbe pris une position de garde ramassé, la prise de son poignard inversé pour mieux appuyé le poids de ses coups en concordance avec le tranchant de la lame. Les premières gouttes de sueurs perlant sur son front, il ne réussit toujours pas a repéré son agresseur dans le salon pourtant exiguë de ses appartements, rêvait il encore? :
"Mes songes ne suffisent il donc plus à la folie, veut elle à présent mes jours en plus de mes nuits?" Protesta il en reposant le poignard sur une commode. Rassuré que personne ne se fut finalement introduit chez lui quelque chose tracassais pourtant encore la figure albinos.

Reprenant le poignard celui-ci adopta encore instinctivement une pose combattante, cette fois le buste gainé et les jambes arqués d'un escrimeur, il piqua d'une vitesse ahurissante transperçant les tentures pourpre devant ses fenêtre si rapidement que le soleil pénétrait tout juste au travers de la première déchirure avant que la suivante ne fut déjà taillé.
Fulgrim contemplait béat son œuvre, l'aristocrate avait certes, fait l'objet d'un enseignement basique des armes auprès des maitre de la famille, mais jamais ses talents à l'épée n'avaient pu égalé ceux qui étaient les siens à la plume. À présent, même la plus fine lame de la ville n'aurait été que du gibier de potence face à lui.
"Je suis Galaad ressuscité! Tous tremblent devant mon épée!
-Ne présume pas si vite de tes talents, ou ta vie se résumera à un aussi court fil que celui de se jouet entre tes mains."

Faisant volte face d'un de poignard brusque, le bras d’albâtre heurta de plein fouet le miroir, brisant celui-ci en des milliers d'éclats, les plus gros logés tel des poignard dans la chair qui l'avait heurté. D'un cris presque inhumain l'aristocrate saisit son bras en pleurant, le sang se déversant en d’épais filets rouges des diverses entailles : "Qui... qui, ou quoi... que vous ai-je donc fait pour être frappé a la fois de temps de bonheur et de malédiction...
-Ne confond pas les conséquences de tes épreuves avec celles de simples maladresses imbécile...

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Recousant avec autant de délicatesse que de soins possible Démetria fixait le fil et l'aiguille qu'elle passait au travers des plaies de son maitre avec autant de zèle qu'elle n'en mettait à évité son regard. Avant même qu'elle ne fut complètement réveillé Lucius était venu la quérir tôt dans la mâtiné, les cris du maitre résonant alors à travers la demeure. Quand enfin ils parvinrent à ses appartement celui-ci était nus et prostré au milieu des éclats de son miroir brisé. Le bras droit en sang, le jeune homme brassait alors ceux ci, comme chassant ses milliers de reflets parmi les brisures ne cessant de répété : "Montre toi, montre toi et viens en finir!"

Ces cauchemars, les changements qui s'opéraient et maintenant même ses mutilations volontaire, quel bénédiction cela aurait été qu'il ne se fut s'agit que de la folie dont les autres domestiques parlaient, mais serrant fermement le crucifix autour de son cou, la veille nourrice, elle, avait un tout autre avis sur la question : "Tu est bien silencieuse aujourd'hui...  Que t'arrive il?
-Vos blessures sont graves et profonde mon seigneur...
-Tu me trouve fou, comme les autres, c'est cela?
-Non mon seigneur, n'avez vous pas simplement titubé et glissé malencontreusement vers le miroir comme vous l'aviez dis?
-Tant qu'il est si accommodant pour tout le monde de le croire..."
Troublé, la servante perdis le fil de sa concentration, l'aiguille glissât sur la peau immaculé, creusant une mince trace rouge. Le sang n’eut pas encore perlé que giflé, Démetria heurta le mur de l'autre côté de la pièce : "Pauvre sotte! Si c'est pour m'écorcher d’avantage je n'ai besoin de personne d'autre que moi même!
-Maitre, vous m'avez fait mal...
-Un prêtez pour un rendu veille radasse, dehors... DEHORS!!!"

Ne demanda pas son reste la veille femme couru de sa foulé saccadé et douloureuses, l'usure de ses os et tendons presque oublier sous l'effet de la peur : "Nourrice, ou allez vous comme ça?!" Craignant un instant que ce ne fut son maitre qui l’eus suivis la nourrice soupira de soulagement en reconnaissant le visage émacié de Lucius : "Cette marque, que vous as il fait?" Effondrez Démetria s'écroula en larme dans les bras du domestique. Fils adultérin Lucius n'avait pu prétendre à aucun rôle au sein de la maison, mais la nourrice les avais élevés lors des premières années de leur vie lui et Fulgrim avec le même amour, la même dévotion. En cet heure de trouble, elle ne pouvait plus maintenant que se tourné vers lui :

"Il n'est plus lui même Lucius, ton frère...
-Le maitre.
-Non, tu dois m’écouter, vous êtes du même sang il est ton frère et un grand danger le guette il n'est plus lui même! Son visage, sa peau sont portés comme un masque par quelque chose de froid et horrible, je le sent cela me tire au fond de mes entrailles!"
Repoussant sa mère de substitution le page perdit sa contenance, aucun amour n'avait jamais transpiré entre les deux frères, et ce qui se passait aujourd'hui ne l'étonnait pas plus que les précédentes excentricités de l'héritier légitime : "Il ne fait que montré pour la première fois son vrais visage aux sus de tous! Il à toujours été ainsi, froid, arrogant et fou à lier! Personne n'a jamais voulu le voir sous prétexte que son sang était plus bleu que le mien mais tout abâtardit que je suis, je méritait cent fois tout ce que possède cet imbécile! Alors laisser le, laisser le s'écorcher vif jusqu’à ce qu'il se vide de son sang ou même mette le feu à cette demeure en proie à je ne sais quel vision, tout ceci ne me concerne plus!
-Lucius!"

Cette fois ce fut au domestique de prendre la fuite, une colère bouillonnante au fond des yeux. Demetria tomba à genou, brisée  : "Jusqu’où cela ira il?"

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Assis sur un des fauteuil du salon d'apparat Fulgrim s'impatientait, à l’œuvre depuis des heures les domestiques n'avaient pas encore finir d’installer aux murs la collection d'arme qu'il venait d'acquérir. Manipulant avec soin la variétés de lames anciennes sortit de toute la cargaison déposé à l'entré du domaine, les domestiques transportaient ces dernières comme si elles avaient été faites du cristal le plus pur et fragile qui soit. Car ce véritable étal comme tout droit sorti de la réserve d'un forgeron avait couté une fortune au maitre des lieux, toute sa fortune à vrais dire. Une caravane d'homme étrange s'étant un jour présenté aux portes de la demeure prétendant venir sous mandat du maitre lui même.

Autant dire que la surprise fut de taille quand celui-ci confirma, autorisant même ces hommes étranges à passé quelques jours au sein du manoir avant de les laissés partir, grassement rémunéré pour cette bien étrange livraison : "Fait attention pauvre idiot! Si tu émousse ou ébrèche le tranchant de ce gladius d'une quelconque façon que ce soit je le réaffuterais sur tes os!"
Rappeler à l'ordre le serviteur empoigna plus délicatement la courte lame et la déposa tout aussi doucement sur son support, alors que son maitre l'épée à sa ceinture dégainé, le fixait en pointant la lame d'argent en sa direction. Personne ne dis rien ou ne s'en offusqua cette pratique et menaces étant devenus monnaie courante depuis que le seigneur des Phoenicia en avait fait l'acquisition.

Il ne s'en séparait jamais et sentait souvent le besoin de tranché ou brisé des objets avec, ayant même un jours d'une saute d'humeur manqué d’arraché le visage d'une servante d'un revers de sa pointe. Naturellement quelques larbins avait fuit devant la démence afficher par leur hôte mais l'absence de répercussion et le fait que personne ne soit encore venu demandé des comptes à Fulgrim était suffisamment éloquent quand au sort qui avait été le leurs.

"Mes armes... enfin revenus! Mes belles, mes précieuses..." L'albinos tiqua d'entendre une fois de plus la voie résonné dans son crane, Demisclos, comme il savait devoir appeler ce parasite indésirable, était à l'origine de tout cela. Après des mois de luttes et d'adaptation concernant sa nouvelle condition Fulgrim savait à présent tout : il était devenu un pion dans une guerre que la plupart des hommes ne soupçonnaient pas, une bataille qui se livrait tout les 243 ans entre les dieux du folklore olympiens et Arès était sont nouveau patron. Non pas que cela fut facile à admettre ou intégré les premiers temps, mais l'esprit du Berzerker qui l'habitait avait été un tuteur prodigue, le guidant sur la voie du guerrier dans l'attente d'être réuni avec ses futurs camarades.

La révélation, l'ébranlement de ses croyances avaient été une épreuve presque impossible à surmonté pour Fulgrim alors que dans un déchirement interne insoutenable son esprit s'était infusé de toutes les connaissances de son colocataire, de cette après vie atroce et terrible ou Hadès punissait avec fureur les vivants, de ces dieux moqueurs et cruel qui ne voyaient les humains que comme des pions dispensables ou  de cette Athéna, réduite aux même méthodes mais se réfugiant hypocritement derrière un idéalisme feint. Seul Arès lui, récompensait et protégeait au nom du sang versé : "Bientôt Demisclos, vers le sang et la guerre nous les brandiront...
-Bien sur, nous... Mon frère..."

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La pluie battante et les éclairs zébrant les ténèbres nocturne de leur fureur... Intérieurement Lucius sourit, c'était une belle nuit, une belle nuit pour accomplir sa tache. Couvert d'un long manteau noir, le bâtard gouttait les vestiges de pluies tombant du bord de sa capuches, elles n'avaient que le gout neutres des eaux venus du ciel, mais bientôt se il désaltérerais avec quelque chose de plus consistant : le gout irremplaçable et épais du sang. Ces tendances lui avaient pourtant valu d'être rejeté pour la seconde fois de son existence, mais Lucius n'en avait cure lui aussi à présent assumait son vrais visage : sanguinaire et capricieux tel celui des dieux.

Son maitre l'avait pourtant mis en garde : le pouvoir qu'il détenait maintenant usé à mauvais escient faisait de lui une cible et même si il avait fuit le sanctuaire avait d'avoir pu obtenir une armure, si ce qui se passais ce soir venait à être su un chevalier serait probablement envoyé à ses trousses pour l’exécute.
Lucius pesta, même par le sanctuaire, ce sanctuaire qui l'avais accueilli et formé pour avoir enfin reconnu ses capacités la ou ses parents l'avait rejeté protégeait à présent indirectement son frère honnis. Mais peu importait, il n'était plus qu'un paria irrémédiablement et définitivement et pour cela ce soir il rejoindrais l’au-delà la tête de Fulgrim comme dernier trophée avant son départ pour l’Achéron : "Qui va la?!"
La lumière d'une torche et une voie familière... Malgré des mois passé loin du domaine le vieux guetteur reçu Lucius comme si celui-ci n'était jamais parti : "Lucius! Dieu soit louer tu est vivant! Ou était tu passé tout ce..."

Les paroles moururent sur les lèvres de l'homme, tout comme lui. S’écroulant le ventre transpercés par le poing de Lucius, un épais de glaviot de sang obstruant sa gorge, il mourut sans pouvoir formuler ses dernière interrogation que son ami devinait aisément : " Dors, dors vieil ami, ce soir nous partons tous battre la terre des enfers." Le déchu continua alors sa ronde sanglante, prenant soin d'éliminer d'un coup rapide et indolore toutes ses figures familières qui le dévisageait maintenant avec cette même douleur et haine que ses parents avaient toujours manifesté à son égard : "Cela à toujours été comme ça, toujours!! Disparaissez! Mourrez avec lui!"

Plusieurs autres coups de poing comme distribué en une pluie de comète continuèrent de châtier femme et enfants dans un déchainement horrible de violence, ne laissant que des cratères ensanglanté dans la cours en lieu et place des corps : "Ne fuyez pas! Tout sera bientôt fini!! TOUT!!!
-Je savais que tu m'avais toujours envier mes jouet frère, mais ne va pas t’imaginer que je te laisserais impunément les casser."
Le coup était rapide, la poigne à l'autre bout de l'épée inflexible. Alerté par une formation basique mais talentueuse Lucius esquiva de peu un large de coup en direction de son cou, reprenant rapidement ses appuis pour assené une contre attaque à la vitesse du son que son frère n'eut aucun mal à évité d'un pas de côté élégant. Jaugeant d'un regard les capacités respective de l'autre les deux adversaires s'éloignèrent alors d'un saut et se firent face en position de garde :

"Quelle surprise, il semblerait que tu ne soit pas uniquement parti pour pleurniché dans ton coin. Dis moi bâtard, qui t'a appris à te battre de cette façon?
-Je te retourne le compliment, il semblerait que nous ayons fait l'objet des même attentions. Même si je sent toujours chez toi cette même pourriture latente qui me fait présumer que nous n'avons pas le même maitre, alors qui? Hadès? Poséidon?"
Son frère ferma alors les yeux, comme en transe un cosmos térrible se dégageant de l'épée pour se mêler au sien, libérant une onde de puissance qui coucha les arbres les plus proche alentours Fulgrim porta la Lame à ses lèvres répondant à un interlocuteur invisible : "Tu as ma permission, déchaine ta fureur, tue le!"

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Le sang... il avait espéré le goutté sans pour autant que la finalité soit d'y laisser tout le sien... Gisant à terre dans une marre pourpre écoulées de nombreuses blessures l'apprenti déchu fixa son frère, vêtu d'une armure aux couleurs améthystes et or il se tenait royal l'épée lever vers le ciel comme pour mieux souligner son triomphe en sa direction : "Alors Bâtard, ont s'est brûlé les ailes en voulant se faire une place au soleil? Ou bien était ce une vengeance stérile?"

Abandonnant sa pose de victoire théâtral Fulgrim se baissa vers la dépouille presque inerte de Lucius tirant ses cheveux afin de croiser leurs deux regards : " Il n'y a ni gagnant, ou perdant mon frère seulement le plus brave ou malin des deux. Doté des mêmes dons et possibilités que moi tu t'est bêtement laissé ronger par la colère et la déconsidération, croyant que l'amertume te rendrait plus fort... Médite sur les résultats qu'ont amenés la prise de cette voie tant que tu le peu encore."
Articulant encore quelque gargouillis presque inaudible Lucius se traina péniblement vers le cadavre de Demetria, la nourrice morte dans les première minutes du duel en voulant s'interposer entre eux.

Serrant les reste du corps dans ses bras celui que l'on avait toujours considéré comme un bâtard sans famille voyait maintenant quel était son erreur alors que tout ce qu'il avait toujours cherché gisait eparpillé devant lui, tué par sa propre rage aveugle : " C'est une histoire... Une histoire monstrueuse Fulgrim.
-Tu est encore en état de babillé des inepties?
-REGARDE AUTOUR DE TOI!!! Ce qui est arrivé dans cette maison, n'est pas qu'a propos de nous deux ou même de ces absurdes histoires de famille... Si les hommes continuent de suivre tout cela aveuglément ce sera bientôt le monde qui baignera dans son propre sang!
-Et tu ne t'en aperçois que maintenant?"

Rapide, bien trop pour qu'il ne l’aperçu dans son état, la lame d'argent traversa le crane de l’apprenti, entrè aussi vivement que brutalement au travers de son orbite gauche. Lucius s’effondra, inerte et maintenant aussi silencieux que l’accalmie accordé par les cieux en cet instant. Même eux se refusaient ils à le pleuré? Fulgrim médita alors sur cette ironie, contemplant le carnage et le spectacle pathétique de ses liens mortel à jamais brisés : " Tu as entraperçu la vérité sans pour autant pleinement l’appréhender pauvre idiot... Nous ne sommes rien, rien qui ne puisse être envié ou en mesure de s’élever, uniquement les outils inférieur de dieux et titans capricieux... Fatalité et destruction sont notre seul lègue.
-Quel dommage que ce château soit compromis... le sanctuaire va très certainement se lancer sur sa trace, nous devons partir.
-Bien."

Ne jetant aucun regard en arrière le guerrier d'Arès quitta le domaine, tremblant brièvement sous le poids de cet état de faits énoncé plutôt : dans le grand carnage des êtres inférieurs initiés par les dieux, son sang un jour serait lui aussi le bienvenu.

Le mal. Élevé dans l’impunité la plus total d'une condition social supérieur, l’éveil au cosmos de Fulgrim hanté par un esprit du passé sanguinaire à laissé des traces. Le meurtre est devenu chez l'aristocrate une seconde nature, son unique sacerdoce. Plus sordide et gratuit sera l'acte, plus il en tirera du plaisir.

Un visage fin, comme celui d'un ange. Qui si il n'est pas dépourvu d'une certaine masculinité afficher par des expressions sadiques et arrogante tend définitivement plus vers le féminin encadré par ses long cheveux blanc. Une Hélène, plus qu'un Adonis aux proportions d'un homme de Vitruve, perfection physique ironiquement inverse aux défaillance spirituels du concerné.