Mon corps apparut à quelque mètre audessus de la mare obscure. La gravité ne tardait pas à me rappeller sa force. Une femme dans le vide, c'est une pomme dans un arbre, elle tombe. C'est bien dans la Quarième Prison des enfers que je tombais là où les colériques et les insatisfaits se noyaient. Je me demandais combien de temsp allais-je passer ici. Cela n'étant pas de mon ressort, je prenais mon mal en patience.
Le contacte avec la mare obscure n'était pas loin. Avant d'y tomber, je me resseptionnais en sotant sur le visage des mort qui se débattait pour ne pas se noyer. Au premier contacte, cette mare avait l'air d'être épais comme du goudron. Je regardais l'agitation autoutd de moi. Les morts s'agitais dans tout les sens, ils se monataient les un sur les autres se noyant mutuellement, croyant qu'il pouvait encore se sauver un temps soit peu. J'observais certain cadavre se laisser tomber dans cette mare de gudron sans jamais les voire remonter, définitivement noyé.
Les morts finirent par remarquer ma présence, ils voyaient en moi une nouvelle boué de sovetage. Tous en même temps, ils se précipitèrent sur moi jusqu'à me submérger complètement. Il y eu comme un explosion. Tout les corps qui était sur moi volèrent. Je m'employais à séparer chaque tête de chaqie corps. Tout les morts qui se voyaient décapiter par mes soint n'avais aucune chance de remonter un jour à la surface. Cela fesait des milliers de corps inerte qui rejoignaient le fond de cette mare obscure.
J'étais bloquée dans cette prison, cela ne voulait pas dire que j'était obligé de soumètre. Au début le mort se jetter sur moi puis peu à peu, ils commençèrent à comme une nouvelle faucheuse. J'étais devenue le nouveau tourment de cette prison. Pas un d'entre eux n'allait m'échaper. J'enchainais les emputations, tous les cedavre finissait pas couler sous mes pieds.
Quatrième prison finit par devenir presque tranquille. Plus un mort ne s'agitaient, ils avaient tous coulé et ne pouvaient plus boujer. À chaque fois qu'un nouveau mort tombait dans cette prison, il se débattait pour me rejoindre. En bonne âme charitable que j'étais, je l'envoyais rejoindre ses frère au fond du lac. Cela fesait des millards et des millards de cadavres. Ils formèrent une montagne ayant pour base le fond du lac. Cette montagne de mort inerte dépassait de trois mètre de la surface de la mare.
C'est sur cette montagne de cadavre que je méditais, attendant que l'on viènne me chercher.