Dedalus | Sujet: Dedalus Général de Scylla Sam 30 Mar 2013 - 19:18 | |
| MaPrésentation • NOM ET PRÉNOM : Dedalus • CAMP : Marina • ARMURE : Général de Scylla • CARACTÉRISTIQUE : Cheveux verts • COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? : Google est un ami • NIVEAU DE RP : Plutôt bon Mon Histoire... Son histoire débuta en Grèce au Cap Sounion, dans un ciel sombre illuminé de milliers d'étoiles scintillant frénétiquement dans la voûte céleste, bercée par un vent salé qui semblait faire danser les flots océaniques qui venaient s'écraser contre les pieds d'une falaise titanesque. Cette chorale naturelle semblait fêter un événement heureux, la naissance d'un petit garçon encore tout frêle au destin exceptionnel, sa naissance.
Quelques années plus tard, on le retrouvait alors âgé de six ans, il avait bien grandi tant que physiquement que moralement. Côté caractère, c'était un enfant espiègle qui aimait s'amuser avec ses amis tout en faisant des bêtises, mais c'était un garçon respecté de tous. Il était très intelligent pour mon âge, il adorait jouer au soldat avec son père, pour qui il vouait une grande fierté. Bref, il vivait chaleureusement avec ses parents et ses amis.
Mais ce qu'il y avait de plus important à savoir, c'était ses origines, des origines des plus exceptionnelles qui expliquaient pourquoi il était si fier et si adulé de ses pairs. Mais pour comprendre ses origines, il faut remonter à des siècles, voir des millénaires en arrière, à l'époque où le prestigieux royaume de l'Atlantide existait encore au large de l'Océan Atlantique. Oui, car les origines de Dedalus remonte à cette époque.
En effet, il descend d'une famille très réputée alliée à l'Atlantide et vivant dans un lointain pays, près de l'Equateur . Toujours selon les textes anciens, ce pays était placé sous la protection du puissant dieu des océans, le divin Poséidon. Son peuple avait permis l'avance du peuple Atlante sur tous les autres peuples du monde, surtout au niveau technologique, ce qui pouvait accentuer des jalousies chez les royaumes voisin... y compris chez les dieux eux-mêmes.
Pour protéger ce pays, Poséidon ordonna à l'une de ses plus puissantes créatures marines, Scylla, un monstre à la taille titanesque connu principalement pour dévorait les marins qui passaient trop près de son antre, de le surveiller. Mais un jour, selon les textes Poséïdonniens, l'île et le pays furent attaqués par des hommes armés jusqu'aux dents servant une divinité qui serait pour certains Athéna et pour d'autres Arès car la puissance des Atlantes et de l'autre peuple avaient suscité une crainte. De cette attaque s'en suivit une bataille qui fît tremblée le cœur de l'océan lui-même, ce qui n'eût comme que de faire couler l'île et éradiquer ce pays, submergés par l'Océan, ne laissant aucun survivant côté assaillant, et très peu côté Atlantes et autres.
On raconte que Scylla aurait sauvé quelques dizaines de survivants Atlantes et autres, dont le fils du défunt roi Arkantos mort au combat, le prince Castor encore âgé d'une dizaine de jour et sa mère Polénia. Poséidon aurait alors accueilli ces survivants dans son fief terrestre, le Cap Sounion. Depuis tout ce temps, la lignée royale a pu perdurer jusqu'à aujourd'hui, faisant des descendants le prince de l'Atlantide, le dernier hériter de la famille royale. Cependant, la famille de Dedalus, elle aussi survivante, s'était rapproché et très vite se lièrent d'une très grande amitié.
Il vivait au Cap Sounion en présence des fidèles adorateurs de Poséidon. Cet endroit était un peu comme le sanctuaire d'Athéna, un lieu caché de culte pour la divinité. L'endroit se trouvait sur les ruines du mythique temple de Poséidon, donnant une vue inébranlable de la falaise sur l'immensité de l'Océan et du soleil qui se reflétait sur ce miroir bleu.
Au Cap Sounion, on trouvait des gens de toutes sortes: Il y avait des marchands, des soldats défendant le site sacré, des enfants mais aussi des formateurs qui repérait les éventuels hommes et femmes ayant le potentiel pour devenir un Marina de Poséidon. Bien entendu, les places étaient chères, malgré le grand nombre de candidat, il n'y avait que très peu d'élu. L'endroit gardait les traces de l’Antiquité, tous les bâtiments étaient d'architecture Dorique, et le culte de Poséidon était omniprésent: On pouvait s'apercevoir qu'à chaque coins de rues, il y avait des monuments et statues représentant l'effigie de Poséidon, et son attribut le plus cher : le trident !
Et plus important : du Cap Sounion on pouvait atteindre le sanctuaire sous-marin via un tourbillon géant marin, mais autant dire que l'endroit était secrètement gardé et que pour accéder à cet endroit, il fallait maîtriser sa cosmo-énergie, donc être un Marina de Poséidon sinon c'était la mort assurée !
C'était à l'âge de huit ans que les épreuves pour recruter les élus de Poséidon commençaient, et celle la durait plusieurs années de formation. Les enfants étaient mis à l'épreuve en combattant en autres, ce qui avait pour but de découvrir s’il possédait un cosmos puissant. C'est là que sa destinée allait prendre forme.
En effet, il a toujours rêvé d'intégrer le corps des puissants Marinas de Poséidon ! C'est pour cela qu'il se donnait tous les moyens de réussir ces épreuves en pratiquant intensément du sport comme de la course, de la natation et l'art du combat.
La première journée de recrutement fût rude, cinquante pour cent des candidats étaient déjà non-admis. Pourtant aucune épreuve n'avait été faite, les candidats étaient juste examinés visuellement par les formateurs, des anciens Marinas, qui jugeaient à l'œil nu si le candidat possédait un don. Heureusement pour lui, il fut admis !
Les épreuves suivantes furent ensuite plus corsées. Les candidats étaient jugés sur leurs aptitudes physiques telles que l'endurance, la résistance et la force. Ils devaient par exemple nager sur 500 mètres, résister sans abandonner pendant 15 minutes dans un tonneau rempli de glaçons et se battre entre eux d'une manière non animale bien évidemment. Il n'eut aucune difficulté à sortir de ces épreuves entier et il fut conservé, tandis que beaucoup d'autres candidats étaient remerciés.
Il faisait d'ailleurs l'objet d'un intérêt particulier auprès des formateurs puisqu'il se plaçait largement au-dessus de ses camarades de tout âge, et même du prince lui-même. Il semblait posséder un cosmos bien plus puissant que les autres.
A la fin des épreuves de recrutement, il restait très peu d'élu. Sur une centaines de candidats, seul dix furent gardés. C'est là que les entraînements allaient commencer. Mais cela n'altérait en rien son ambition, bien au contraire : cela l'excitait encore plus. Et puis il avait l'encouragement de tous ses proches, de ses amis, et sa fierté le rendait intouchable sur tout ce qui gravitait de négatif autour de son moral !
L'entraînement fût dur, il dura huit ans. Pendant toutes ces années, il apprit à canaliser sa puissance et à contrôler son cosmos. D'ailleurs, ce fût au bout de quelques mois qu'il apprit à maîtriser les bases de son cosmos sous l'étonnement de tout le Cap Sounion. Comme il se plaisait à le dire à ses camarades, ce fût une sensation unique, une sensation de force incroyable. Il était évident qu'il avait un talent, un talent incroyable.
Quand enfin il arriva à maîtriser son cosmos, il commençait à briser des piliers de coraux reconnus pour être d'une dureté d'acier, il apprit aussi à pourfendre les océans en deux et à résister à la pression océanique. Mais sous cet air sérieux, Il aimait aussi s'amuser pendant ses entrainements pour le plus grand soupir de ses formateurs.
Bref, à la sortie de l'académie huit ans plus tard, il avait alors seize ans à l'époque et il avait beaucoup changé. Son physique n'avait pas changé sauf si ce n'est qu'il paraissait plus grand, il avait pris en centimètres et en corpulence. Pour ce qui était du moral, il avait toujours sa fierté, il aimait rire et prendre les choses à la rigolade, comme à l'habitude dirons-nous !
Quelques semaines plus tard, son talent lui ouvrit une porte qui pouvait faire de lui l'un des hommes les plus importants de l'armée de Poséidon. Les formateurs décidèrent de l'envoyer en entraînement particulier en Sicile, au détroit de Messine. Là-bas, il y serais accueilli par un homme tenant le titre de maître, lui aussi un loyal sujet de Poséidon pour obtenir la prestigieuse scale de Scylla, le fameux monstre de Poséidon qui protégeait jadis son pays. Sans hésiter, il accepta et parti pour la Sicile après avoir dit au revoir à tous les gens qu'il aimait.
Après un mois de voyage, il arriva à destination. Il fut déstabilisé par les conditions climatiques du pays. Il y régnait une chaleur de diable, l'effort était difficilement faisable sous peine de se fatiguer en quelques minutes sous un soleil qui tapait au plus fort de sa force, heureusement que la beauté du paysage compensé cela. C'est alors qu'il fut accueilli par son nouveau et premier maître, un homme d'une apparence assez vieille, portant le bouc blanc, assez petit qui se nommait Hérodos. L'homme à la voix grésillant mais imposante se présenta, puis il l'amena dans sa nouvelle maison, une petite hutte se situant à quelques mètres du détroit de Messine
Durant les premiers entraînements, il eut beaucoup de mal à s'acclimater à cette chaleur insupportable, ce qui lui valait de se faire narguer gentiment par son maître Hérodos qui tenait à son nouveau disciple. C'est d'ailleurs grâce aux plaisanteries de son maître qu'il allait vite apprendre à vivre avec ce climat en mêlant son cosmos chaud à celui de la région, grâce à sa fierté d'Atlante !
Au début, il pataugeait dans la difficulté, transpirant toutes la transpiration de son corps. Mais au fur et à mesure, il progressait à chaque entraînement. Cela ne surprenait pas le maître Hérodos, de nature discrète mais observateur, il voyait clairement qu'il avait un potentiel hors du commun. D'ailleurs ce vieil homme qui inspirait au respect avait la réputation de ne pas garder auprès de lui les guerriers et guerrières qui n'avaient pas le talent qu'il recherchait.
Un soir, alors que les deux sujets de Poséidon mangeaient tranquillement sous un feu qu'avait allumé Hérodos, ce dernier lui raconta l'histoire de Scylla. Cette créature de Poséidon crainte et redoutée par les marins du monde entier qui naviguait en Méditerranée. Puis il lui raconta l'histoire qu'il ne connaissait que trop bien, celle ou Scylla protégeait le royaume de l'Atlantide et de ses habitants qu'ils vénéraient. Il lui raconta aussi la légende de la bête la plus terrible de Poséidon, une jadis nymphe de grande beauté dont Glaucos tomba amoureux. Circé alors jalouse la transforma en monstre, la nymphe s'enfuit alors dans l'océan.
Cette conversation avait éveillé en lui une admiration profonde envers cette créature marine qui à la fois le faisait peur et le fascinait. Une chose était sûre, il voulait revêtir son âme en gagnant cette armure. Il apprit aussi durant cette soirée que son maître, Hérodos, était le protecteur de ce scale.
Tous les jours dès l'aube, il m'entraînait durement ! Torse nu, il apprenait à briser les solides blocs de roches, plus résistant encore que les piliers de Sounion, il apprenait des techniques spéciales du grand Hérodos, il nageais dans l'eau chaude méditerranéenne ou il y faisais aussi de l'apnée, il portait des petits blocs de roches qui faisaient leurs poids, il affrontait à main nues les créatures hostiles qui composaient la puissance de Scylla, à savoir l'abeille, le loup, l'ours, le serpent, la chauve-souris, et l'aigle.
Son entraînement dura quatre ans. Au bout de la fin de ce dernier, alors que l'épreuve finale approchait à grands pas, il avait une nouvelle fois grandi en maturité et en corpulence. En effet, avec les entraînements physiques, il n'était plus le garçon tout frêle, au contraire, il était devenu plutôt costaud et il savait à présent parfaitement contrôler son cosmos.
Le jour J était arrivé, il allait enfin savoir si il allait être l'élu du prestigieux scale de Scylla... . Le vieux maître Hérodos lui expliqua l'épreuve :
Il devait pénétrer l'antre obscur que l'on appelait le détroit de Messine pour y trouver le scale de Scylla. Mais cette simplicité cachait inéluctablement des difficultés, surtout quand on savait que cette antre était l'habitat de la terrible Scylla !
Après un dernier soupir, il se lança dans l'inconnu. Après quelques minutes de marche, l'entrée de l'antre et son obscurité commençait à disparaître, jusqu'au moment où la lumière n'était plus du tout visible. On n'entendait plus que ses pas qui résonnaient dans le noir total de la grotte. Il ne savait pas où il avançait, ce qui expliquait ses pas méfiants, il avançait donc ses mains devant. Au bout d'un certain moment, il eut la bonne idée de faire marcher sa cosmo-énergie bleutée, ce qui éclaira les lieux de quelques centimètres à ses alentours. C'était la première épreuve qui fût réussite: en effet, si il eut continué comme cela sur quelques mètres, il se plantait sur des pics aiguisés de bois.
En continuant lentement dans un silence tonitruant, il fut confronté à une nouvelle épreuve: à ses pieds se trouvait une impasse et de l'eau. Sans hésiter, il se jeta dans cette eau ou il y aperçut une sortie. Cette épreuve testait l'apnée puisqu'il fallait rester de longues minutes sous l'eau, ainsi que la pression océanique car il fallait descendre profondément.
Une fois cette épreuve réussite, il se trouva dans une grande salle éclairée par des torches murales et par un objet qui scintillait d'une lumière pure et clair, cet objet n'était autre que la scale de Scylla trônant en haut d'un escalier. Son cœur battait à cent à l'heure, il avait donc décidé de s'en approcher... mais l'ultime épreuve arriva, la plus terrible de toutes !
Après avoir fait quelques pas, un vent souffla dans la grotte ce qui éteignit les flammes. C'est alors qu'un cri effroyable raisonna, un cri assourdissant et terrifiant ! Un monstre émanant du scale sortit alors et se dressait devant lui. Sans avoir le temps de se poser des questions, ce monstre ressemblant à une femme accompagnée de monstres divers me chargea, ce qui le propulsa d'une force violente contre la roche. Sonné, il comprit qu'il devait vaincre cet esprit qui l'avait testé, l'esprit du scale qui n'était autre que Scylla !
L'une des gueules du monstre se jeta sur lui pour le dévorer, il esquiva alors à plusieurs reprises les assauts du monstre. C'est alors qu'il compris qu'il devait accepter l'affrontement en surpassant sa peur qui paralysait son esprit. Malheureusement, il l'avait compris trop tard, le monstre l'avait occasionné des blessures plus ou moins graves. Il décida donc de lancer son attaque la plus puissante, celle que lui avait apprise son maître Hérodos, la Big tornado !
Il prit alors la position adéquate, jambes écartées symétriquement, les yeux fermés et les bras vers le sol dessinant un geste. Son cosmos bleuté qui enveloppait tout son corps était à son paroxysme et sa concentration était à son maximum, il s'apprêtait alors à lancer son ultime attaque :
" BIIIG TOOORNAADOO !!!! "
Un violent tourbillon d'air à vitesse de rotation élevée se fit ressentir jusqu'à être visible à l'œil nu. Ce tourbillon d'air cosmique se dirigea alors vers le monstre qui le prit de plein fouet, lâchant un cri de douleur, puis disparu. Le monstre était vaincu ! A bout de force, alors qu'il perdait du sang au niveau du son bras droit qui venait s'écraser sur le sol, il s'approcha du scale sacrée. Plus il s'approchait, plus sa vue se troublait. Alors qu'il effleura le scale, celle-ci l'aveugla d'une lumière éclatante pendant de longues minutes.
Quand sa vue revint, il sentait en lui une puissance encore plus dévastatrice qui coulait dans son sang, il ne s'était jamais autant senti aussi bien de sa vie. Il s’aperçut alors qu'il était revêtu du scale de Scylla. Son vieux maître Hérodos surgit alors de nulle part puis le félicita pour son plus grand bonheur. Il lui expliqua que l'esprit de Scylla l'avait testé et avait reconnu en lui le Marina digne de la porter.
Lui, Dedalus, devenait à présent le nouveau général de Scylla de Poséidon. Après des adieux difficiles auprès de son maître qui lui promettait de le revoir un jour, il repris avec fierté la direction du Cap Sounion, l'armure de Scylla attachée dans son dos en forme de box. Son rêve était devenu réalité.
Le Bien ou le Mal?
Comment décrire cela ? Dedalus est du coté du Bien, mais le Bien de Poséidon, c'est à dire qu'il défend son territoire et son Seigneur, il l'a juré en devenant Marina. Cela veut dire aussi qu'il éliminera tous ses ennemis, quels qu'ils soient. Il ne suit pas non plus aveuglement les ordres, si il a l'occasion de régler sans avoir à se battre, il le fera, mais prenez garde : si il décide de se battre, attendez-vous à en baver, car il est coriace, et très fort. Il n'est pas invulnerable, mais il a de la force à revendre. Cependant, il est très fier, ce qui peut lui porter préjudice. Il aime la musique, surtout le hard-rock, allez savoir pourquoi ! Ce qui fait qu'il vit vraiment ses combats, avec une musique en tête pour chaque situation. C'est un charmeur né, il drague les femmes comme il n'y a pas, ce qui peut aussi lui porter préjudice. C'est un ami qu'il faut avoir, fidèle, très sympa et serviable, toujours prêt à rendre service ! Ne jamais le trahir, autrement ce serait la dernière que vous ferriez. Comment considère-t-il le Mal ? Comme quelque chose de normal, qu'il faut combattre, sinon ce serait ennuyeux, et pour se battre, il est toujours prêt. Il ne voue aucune aversion pour aucun autre Camps, il les ignore, c'est tout. Si l'un d'eux vient taquiner l'Atlantide, il va leur latter le derrière à grands coups d'attaques cosmiques. En bref, il est du coté du Bien, ça dépends juste de quel coté on se place ! © Never-Utopia
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