Nagash, ange déchu de Lucifer [ok]

Nom du personnage : Nagash
Armure : Armure du séraphin
Age : il a l'apparence d'un jeune homme de 22 ans
Taille : 1m85

Histoire du personnage :

Pourquoi cette envie ? Pourquoi vouloir affronter mes pairs ? Décidemment il n’y a que la souffrance qui me motive pour avancer. Voir la douleur sur le visage des autres me procure une joie sans pareille mais cela n’a pas toujours été le cas…

Il fut un temps au je n’étais qu’un enfant aimant, n’écoutant que les aspirations de mes proches, mes parents, je faisais tout pour les rendre fier de moi. Mais un jour tragique, tout changea a jamais…quand j’y repense, c’est dans une allégresse que je m’esclaffe. Suis-je devenu fou ? En tout cas c’est ce que l’on a dit de moi à ce procès. Perturbé dans ma réflexion par le bruit significatif du métal que l’on entrechoque. En effet, mon gardien venait de faire glisser avec fracas la lame de son épée sur les barreaux de ma cellule. Je lève la tête doucement vers l’homme revêtu d’une lourde cotte de maille et la vue de mon visage le fait sursauter si bien qu’il reste pendant cinq bonnes minutes tétanisé le dos collé au mur. L’araignée qui descendit tout près de son oreille droite ne le fit pas bouger non plus.

« Tu dois être nouveau ici » dis-je un rictus des plus vicieux sur les lèvres.

Ce dernier me regarde avec effroi et me répond par un léger hochement de tête tremblotant. Je me lève avec lenteur me demandant ce qu’on me voulait puisque ma sentence avait déjà était prononcé il y a de ça quelques jours.

« Tu comptes rester la tout la journée gamin ? »

Mes paroles réveillèrent le jeune gardien qui s’employa à faire ce pourquoi il était la mais c’est en restant le plus loin de moi possible qu’il me fit sortir pour m’accompagner jusqu’à la pièce où l’on m’avait convoqué. La marche dans les couloirs où l’on pouvait sans mal entendre les cris des pensionnaires de la prison. Cela faisait maintenant près de 6 lunes que les soldats me trouvèrent dans les restes de ce village. Ce fut d’ailleurs la raison qui fit que je me retrouvais aujourd’hui dans cette bâtisse froide humide.
A présent, me voila devant la lourde porte de la salle où j’avais été jugé.

« Le prisonnier est la votre sainteté »

Oui la se tenait la sainte inquisition qui voulait me voir une nouvelle fois. Cela n’était point habituel. Il était d’ailleurs assez étonnant que mon exécution doivent se dérouler dans tant de jours, en général, la justice divine n’ai pas des plus patiente et aime traiter les affaire avec célérité.

« Faîtes le entrer »

La porte s’ouvre et je découvre des visages inconnus. Voila donc la raison de la répétition de mon jugement. Il faut dire que les précédents furent assez effrayés quant à la narration de ma présence dans ce hameau. C’est alors que me désignant la chaise pourvue de chaînes solide, je m’y assois et attend patiemment que l’on me donne la parole. Mon air serein alors que l’on décide ici même de mon sort ne manque pas d’énerver mes juges et cela ne me rend que plus euphorique.

« Que faisiez-vous dans ce village abandonné de dieu ? Et surveillez vos paroles, le très haut jugera ici même vos actes de perdition »

Mais que de surprise, la même question que la dernière fois. Je ne compte en aucune façon me montrer plus polie envers ces épouvantails qu’avec ceux de la semaine dernière.

« N’y a-t-il rien dans les pauvres esprits de vos congénères qui aurait pu les pousser à vous raconter notre entrevu ? Vraiment, votre bêtise m’amuse et ce au plus haut point. C’est le teint blafard que l’on me condamna à souffrir mille morts en implorant le seigneur d’une mort rapide. Voila une sensibilité dont je n’ai jamais fait preuve. Ce village, je pris un malin plaisir à y prendre la vie de tous ses habitants. Leurs cris agonisant mêlé d’une terreur des plus jouissive, le goût de leur sang qui recouvrent à présent toutes les chaumières, c’est cela dont vous souhaitez entendre les détails ? »

Suite à mes insultes, leur peau vira au rouge mais ma déclaration suivante leur fit perdre cette couleur pour un blanc digne d’ossements. Le plus jeune, dont les doigts tremblaient frénétiquement sur les accoudoirs de son siège plus la parole ensuite.

« M…mais po…pourquoi une telle haine ? Ne…n’entrevoyez-vous point la voix du seigneur ? Ou est-ce le malin qui guide votre bras ? Que vous a donc promis Lucifer pour une telle folie ? »

Ah voila un esprit si emprunt de cette justice et cette droiture donc j’aime voir la douleur jaillir du regard. J’allais pouvoir jouer avec cet être pathétique. Un sourire plus machiavélique encore apparu sur mon visage.

« Lucifer dites-vous…il est vraiment que cela fait longtemps que je n’ai pas vu mon maître mes ce n’est la pas la raison de mon geste. Le plaisir voyez-vous, le plaisir de voir la souffrance, de faire transpirer la douleur dans les yeux de mes pairs, voila ce qui m’amuse. C’est dans une joie indéfinissable que je prône la destruction et la mort, vous devriez essayer mon jeune ami, vous verrez ça en est enivrant. »

Son visage prise une teinte bleutée et sa bouche était à présent close, tous ici levaient les yeux vers le ciel comme cherchant du regard leur sauveur pour qu’il me fasse taire. De mon côté, toujours assis sur ma chaise, les poignets solidement attaché par une boucle de métal glacé mais bientôt mes chaînes se mirent à fondre et les différents protagonistes tombèrent de leur chaise lorsque je me levai. Je m’approche alors du plus âgé et avec rapidité je l’attrape par le coup. Ma main resserre sont étreinte et un filet de bave descend de mes lèvres lorsque je le vois cracher du sang. Mon regard se pose alors sur le jeune clerc et je continu ma tirade.

« Vois-tu petit, le sang, nectar si délectable… cet homme agonise mais cela ne doit pas finir la, les festivités ne font que commencer. »

Je prends alors la dague qui pend sur sa ceinture et c’est avec un certain plaisir que je la plonge dans le ventre de ma victime et je tourne le poignet doucement profitant, aux premières loges des hurlements du vieillard. Un des inquisiteurs, assez vigoureux, me fonce dessus l’arme à la main mais c’est d’un revers que j’entaille son cou. Une giclée de sang m’aspergea le visage et, passant mes doigts fin sur ma joue, je les lèches ensuite pour ne rien perdre de ce breuvage divin. Le vieil homme tomba, mort mais il restait le jouvenceau qui tremblait de plus belle. Il agitait les lèvres comme pour hurler mais aucun son de parvenait à émerger de sa bouche. Ma lame se planta dans l’une de ses côtes et l’éventra sur toute la largeur. Plongea la main dans son abdomen, j’arrachais avec force une bonne partie de ses entrailles et, lui montrant ma prise avec la fierté d’un pirate qui déniche un trésor, je croque dedans me délectant du sang qui recouvrait mon corps. Ma dernière victime tomba à la renverse me laissant seul dans la pièce.

Une ombre apparu, se dessinant sur le mur et formant bientôt un visage que je connaissais fort bien. En effet, le dernier sacrifice venait d’être accompli, et mon maître allait pouvoir se libérer de sa prison. Lucifer se matérialisa mais ce n’était qu’une ombre.
En tout cas, ce fut bien mon armure qui apparu et qui recouvra bientôt mon corps, j’allais pouvoir faire savoir au monde que les anges déchu n’ont point disparu.

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Mouahahah, de la perversion comme je l'aime.

Momo, je crois que tu as trouvé une de tes victimes ><

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Natsuhi a écrit:

Mouahahah, de la perversion comme je l'aime.

Momo, je crois que tu as trouvé une de tes victimes ><

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