[sondage] Lectures et Votes concours de fanfics Halloween 2016

Vous avez jusqu'au 20 novembre 23h59 pour votez! 

Fic numéro 2

Terreur dans l'Antarctique.


Il y avait tant et tant de chose à voir et à faire, et les prémices de la science de cette fin de 18eme  siècle ouvrait des horizons incroyables. Le monde n’était plus aussi vaste et il semblait que l’on pouvait même le contenir dans le creux de la main. Les expéditions scientifique fleurissait comme le pavot dans les champs et tous attendait avec fébrilité les résultats de ces aventures et les merveilles qui en découlerait pour le bien de l’humanité. Anthropologie, biologie, médecine, les progrès de l’humanité n’attendait que le financement par de puissants mécènes pour se voir accordé une chance de franchir les limites des domaines humains.

C’est dans ce contexte qu’un hiver, les deux berzerker, Katharina et Alectryon, pour augmenter leur revenu sachant que leur seigneur les avait dans le nez, décidèrent de prêter leur force à une expédition qui s’en allait pour les confins du monde, les rivages du continent le plus méridional de cette planète, l’Antarctique. Le choix de la destination ne leur convenait certes pas, préférant au pôle sud, des destinations plus exotique comme, les Bahamas, les Galápagos, enfin tout endroit où l’on ne risquait pas de perdre ses orteils.

Alectryon, comme à son habitude n’avait pas pipé un mot de ce que le scientifique avait déblatérer lors de la réunion sur ce qu’ils cherchaient à cet endroit. L’homme avait eu beau s’égosiller à faire comprendre le but et la portée scientifique de ce voyage, rien n’y fit. Visiblement Katharina avait mieux compris et lorsqu’elle saisit les implications des potentielles découvertes, elle en profitât pour extorquer une augmentation du salaire, en se servant des dangers évoqué lors du discours. Elle tentât par la suite d’expliquer à son frère le but de ce voyage.

Bon ! Je vais faire ça avec des mots simple. Dit-elle en le fixant de ces grands yeux bleus. 

On nous recrute pour aller voir ce qu’il y a tout en bas de la terre. Là-bas, il y a un environnement polaire, très froid et la possibilité de trouver un pôle magnétique, et autres découverte sur l’une des parties presque vierge de notre planète.

Et notre rôle la dedans ? Demandât innocemment Alectryon. 

Eh bien s’il y a des ploucs qui viennent chercher la marave, ou des animaux dangereux, tu les tabasses et moi j’empoche le fric. 

Tant que je cogne moi… tu me garderas quand même ma part du pognon ?

Bien sûr, tu es mon frère… Tu sais compter ?

Oui !

Ah ok c’est super, hé hé. Prépare tes affaires on embarque demain.

Le voyage allait s’effectuer sur une gabarre du nom de « La ventrue » dû sans doute, à sa coque proéminente et renforcée pour les éventuelles collisions. Ce navire et l’expédition avaient pu voir le jour grâce au mécénat d’un riche noble d’Angleterre, un certain Lord William Edward Dwight Jameson deuxième du nom qui souhaitait léguer son nom à la postérité. C’était là la raison officiel, nombres de personne à bord du navire prétendait qu’il s’agissait d’un moyen de blanchir de l’argent acquis par le trafic croissant de l’opium au sein de la société britannique et ce, afin d’évité les foudres du roi George.

C’était une première dans l’histoire, car les membres de cette expédition comptaient tout un panel de représentant européen, faisant de celle-ci une des premières coopérations internationales, faisant la fierté de la communauté scientifique dont les travaux, transcendait la nature guerrière de l’homme au profit de la lumière du progrès. Les journaux s’en étaient donné à cœur joie mais, les tribulations érotiques d’un dandy de scène avaient retenu la faveur du croquant standard, montrant que déjà à l’époque, les fesses interpellaient plus que la découverte d’espaces inconnus. Ainsi seule l’élite intellectuel compris la portée d’un tel voyage. 

Le navire comptait donc à son bord, Un ornithologue britannique, Lord Isaac PALMERSTONE également désigné comme chef d’expédition, un Physicien belge, Sébastien PLATEAU, un Anthropologue Islandais Andry SIGβORSON, un Biologiste Français, Louis Matthieu LATOUR de BROGLIE et un médecin Italien, Leopardi BARTOLOMEO. Passé l’équipage scientifique, c’était un capitaine germanique qui commandait et répondait au nom de Gunter Weissmüller et dirigeait une vingtaine de membres d’équipages. Et pour conclure cette étrange communauté, nos deux serviteurs venus de Grèce, d’un endroit dont ils tairont le nom pour ne pas avoir de soucis par la suite. La liste des invités avait fait scandale par-delà le Caucase car, personne n’était venu de la sainte Russie et le tsar en avait pris ombrage, prenant sur lui de financer sa propre expédition. 

Nous devrions avoir un trajet relativement calme si l’on se fie aux prévisions. Fit le capitaine en s’adressant au scientifique qui montait à bords lors que les matelots déposaient leurs affaires dans leurs cabines respectives. 

Si tout se passe bien nous devrions atteindre notre destination dans six à dix mois, le tout dépendant de la météo et des rencontres que nous pourrions faire. Sommes-nous prêt à partir Lord PALMERSTONE ? 

Le lord anglais lui fit signe que oui après avoir reçu un signe de ses collègues que les matériel avait totalement été chargé. Le capitaine fit donc un signe au docker sur le quai et sonnât la cloche du départ.

Nos jeune amis berzerker entendirent la cloche et se rendirent compte qu’ils avaient trop dormis. Katharina se levât d’un bond et s’habillât prestement en donnant des coups de pieds à son frère pour que ce fainéant se lève. Il était hors de question que leur salaire leur soit enlevé d’une manière aussi absurde. Après bien des imprécations, ils finirent par être prêt et se jetèrent dans la rue, dévalant les rues pentues pour atteindre au plus vite le navire, ce qu’ils réussirent à faire de justesse avant que le bâtiment ne largue les amarres. 

S’ensuivit un voyage long et ennuyeux longeant les côtes de l’Europe puis de l’Afrique où seuls les scientifiques trouvèrent leur compte dans les diverses escales, de par la beauté des découvertes du continent noir. Pour le couple de guerrier, ne pouvant laisser libre cours à leur violence naturel, la mission souhaitant un maximum de discrétion et de pondération, se languissaient à mourir. Pourtant eux aussi eurent à un moment l’occasion de faire leurs preuves.

Un navire surgit par bâbords alors qu’il passait le cap de bonne espérance. Le puissant vaisseau était lourdement équipé et la vitesse à laquelle il allait pour se rapprocher du navire scientifique ne laissait aucuns doutes sur ses intentions. Bientôt, il fut assez prêt pour qu’on distingue son pavillon. Il ne s’agissait pas de pirate mais de l’expédition russe qui se mit très vite coque à coque avec la ventrue, ouvrant ses sabords, prêt à la canonnade. L’équipage paniqué prièrent les guerriers de les aidés à mettre fin à cette menace. Ce qui fut accordé, contre un supplément de salaire, habilement négocié par Katharina.

Mon frère, que recommanderais tu pour que ce genre de fâcheux ne nous ennuis plus ? Demandât la berzerker de l’incendie à son frère.

Je serais pour une incapacitation des facultés martial par un assaut rapide. Répondit-il avec un air sérieux. 

Tu sais que ça ne veut rien dire ?... tu le sais non ?

Bon peu importe, on les explose et on en fini.

C’est là que tu te trompes mon frère, si nous ne faisons que les rendre inoffensif et pour un certain temps, ils pourraient être amenés à revenir et nous pourrions négocier un supplément supplémentaire. Vois-tu où je veux en venir ?

Oui, je suppose… donc on ne les crame pas… Alectryon observât le regard de sa sœur et repris. C’est bon j’ai compris. 

Il prit la barre et fit un tour brusque pour que leur bâtiment se colle à celui des assaillants afin de les contraindre à ne pas tirer mais à l’assaut pont à pont. Les deux combattants se jetèrent dans la mêlée, retenant leurs coups suffisamment pour ne pas être létal et après avoir assommé tout le monde, descendirent pour s’occuper des canons, bouchant leur gueule de manière qu’ils ne puissent plus jamais cracher leurs boulets. Une fois leur affaire terminé, ils quittèrent le navire et reprirent la route avec les scientifique qui n’en revenait pas de ce qu’il venait de se passé.

Comment avez-vous pu neutraliser un navire de guerre à vous deux ? Clamât lord Isaac !

Je vous avais dit qu’en nous recrutant vous engagiez les meilleurs, admit Katharina, Voyez que nos tarifs, pour cette protection, sont plus que correct. 

Avant qu’Isaac ne puisse de nouveau ouvrir la bouche, le capitaine prit à son tour la parole.

Ce qui me surprend moi, c’est comment un navire de ce poids puise être parti si vite de Russie au point de pouvoir nous rattraper ? Et pourquoi en voulaient-ils à notre vie ? N’est-ce pas surprenant de la part d’autres scientifiques ?

Cette question demeurât sans réponse et la nuit tombât sur la gabarre qui se laissait glisser sur le souffle des eaux. 

Quelques jours plus tard, ils arrivèrent enfin prêt des rivages du continent glacé. Ils commencèrent à sortir le matériel alors que le navire jetait l’ancre dans un bai non loin de là où ils établiraient leur camp de base. Plusieurs barque furent mise à l’eau et remplit d’équipement qui seraient installé tantôt à terre. Alectryon et sa sœur débarquèrent à leur tour et aidèrent les scientifiques à mettre en place le camp avec les hommes d’équipage contre quelques autres émoluments. Heureusement que c’était le lord qui payait car la mission coutait de plus en plus chère mais, vu la démonstration de la fratrie, il n’était pas bon leur refuser quoi que ce soit.

Cet en fin de journée, que l’ensemble de la base fut enfin achevée, permettant à tous de prendre un repos bien mérité. Katharina proposât de faire des tours de gardes avec son frère contre une rémunération supplémentaire que les scientifiques jugèrent trop chère par rapport au besoin de celle-ci. Bientôt, tout le monde se couchât pour se redonner les forces indispensables à la journée du lendemain. Dans la nuit, avec le souffle du vent pour seule berceuse, la petite compagnie s’endormis paisiblement.

Alectryon se levât brusquement, il lui semblait avoir entendu un cri. Il vit que sa sœur dormait toujours à son côté, paisiblement. Il se dit qu’il avait surement rêvé. Il se recouchât. A nouveau il crut entendre un cri, ne sachant ce qu’il se passait, il enfilât prestement ses vêtements et sortis de l’abri pour voir ce qu’il se passait au dehors. Tout semblait calme, si ce n’était le vent qui soufflait en tempête à décorné les bœufs. Il inspectât les autres baraques mais personne ne semblait manquer à l’appel. Prenant le chemin vers son lit, il entendit à nouveau des hurlements. Il prit des piquets pour ne pas se perdre dans la tempête et avançât dans la direction du bruit. Il n’aurait su dire combien de chemin il avait parcouru, la visibilité presque nulle empêchant de se faire des repères visuels. Tout ce qu’il savait c’est qu’il se rapprochait des cris qui devenaient de plus en plus net. Traversant l’obscurité, il n’entendit bientôt plus rien, terrassé par le froid, il rebroussât chemin, s’aidant du chemin de piquet pour retrouver sa route. Il en parlerait demain pour voir ce qui se tramait dans cette direction. 

Au petit matin la tempête s’était calmé mais restais un léger vent glacial. Alectryon avait passé une très mauvaise nuit suite à ces bruits inquiétant. Il en parlât à sa sœur qui lui répondit qu’il avait surement rêvé. Pourtant, le cardinal du feu était convaincu d’avoir entendu ces cris et allât voir lord Isaac pour tirer tout ça au clair. Un homme de science comme lui serait plus enclin à s’intéresser à un mystère qui ne rapportait aucuns bénéfices pécuniaires. 

Lord PALMERSTONE ! Je peux vous parler? fit-il en entrant dans la cantine où les scientifiques s’étaient réunis pour prendre le petit déjeuné.

Si il s’agit d’une autre rallonge, vous devrez attendre que je finisse ma collation vous seriez bien aimable.Répliquât le noble, visiblement agacé. 

Non non, il ne s’agit pas d’un problème d’argent mais de sécurité répondit Alectryon.



Un problème à monnayer une fois de plus ? Demandât le lord avant de reprendre. A moins que vous ne soyez pas aussi vénal que votre sœur.

Je ne demande pas d’argent, je veux juste vous dire qu’il y a eu cette nuit des cris qui venait d’au-delà du camp, des cris humains… Je les ai d’abord pris pour des mirages mais ils ont persisté, et ce n’était pas le fait du vent j’en suis sûr. 




Écoutez mon jeune ami, lui dit le chef d’expédition sur un ton paternel, nous sommes les seuls à avoir posé le pied ici, aucunes autre équipe n’est prévu sur le site, à moins peut être des russes mais, pas avant longtemps au vu des dégâts que vous avez fait sur leur navire. 

Permettez-vous quand même qu’on jette un œil pour savoir ce qu’il en est, j’ai perdu la direction des cris dans la tempête d’hier mais j’ai l’orientation par un chemin de piquets dont je me suis servi pour retourner sur mes pas. 




Je ne fais pas ça pour vous ennuyer mais parce que je pense vraiment à la sécurité de tous, y compris ma sœur, ma seule famille. 

Écoutez ! Dit le lord en appuyant ses propos. Nous verrons ce que cela donne mais seulement lorsque nous aurons fini de nous restaurer, à moins de vouloir risquer notre vie nous-même. 


Très bien Sir je vous attends au dehors. Dit Alectryon avant de sortir.


Que leur as-tu demandé, une avance ? Tu as réussi à négocier ça ? Demandât sa sœur qui sortait en trombe de leur repos. 

Non ma sœur, nous allons juste enquêter sur ces bruits que j’ai entendus la nuit dernière.

La belle affaire, répondit-elle, ce n’était que le vent qui t’aura joué des tours, nous perdons notre temps. 

Très bien, reste ici si tu veux mais, moi je les attends pour partir savoir ce qu’il en est, et je te jure que ça ne pouvait pas être le vent. 

Après quelques temps, les scientifiques sortirent et sous l’impulsion du lord, s’équipèrent, prêt à voir ce qu’il en était. Alectryon les remerciât chaleureusement de bien vouloir lui faire confiance. Ce à quoi ils répondirent que de toute manière il fallait bien explorer ce continent et qu’un chemin en valait bien un autre. Bon gré mal gré, sa sœur les accompagnât et tous ensemble, ils suivirent le chemin de piquets qui les mèneraient vers la source des cris de la nuit dernière.




Ils arrivèrent bientôt au bout du chemin de piquets et durent continuer de marcher au jugé, suivant toujours la même orientation. Bientôt ils arrivèrent devant un autre camp. Les scientifiques, médusés, se ruèrent pour savoir qui avait pu arriver avant eux. Le camp était désert, il ne restait personne dans les environs mais seulement les travaux et recherche de l’équipe russe qui les avait devancé sans qu’ils ne parviennent à savoir comment. Le médecin du groupe, Bartolomeo les appelât à le rejoindre dans le bâtiment principal. Tous le rejoignirent et vire avec horreur, la scène qui leur faisait face. La pièce était sans dessus, dessous, les meubles renversés, des traces de sang et de griffures, beaucoup de sang mais pas de cadavres ou de corps agonisant. Il semblait que quelque chose était venu et les avaient emporté, du moins c’est ce que des traces semblait corroboré. 




Le Physicien trouvât un journal et ses connaissances en russe lui permirent d’en traduire quelques bribes. Il semblait que les russes avaient utilisé un navire expérimental fonctionnant avec un système de propulsion indépendant du vent. Le tout était trop compliqué à comprendre et à traduire mais, il y avait d’autres passages intéressants. Ils avaient établis leur camp il y a deux jours et avaient déjà exploré une partie des environs. Il y avait des montagnes non loin qu’ils avaient atteint grâce à des traineaux et avait découvert une caverne là-bas qui semblait être l’œuvre de l’homme. Là-bas ils avaient découvert quelque chose, il ne put traduire ce que c’était mais, cela les avaient effrayé et ils avaient convenu de quitter leur base le lendemain. Chose qu’ils n’auront pu faire si l’on considère qu’ils n’y avaient plus personne séants. 




Lord Isaac envoyât un groupe de marins dire au capitaine de chercher le navire des russes, s’il ne le trouvait pas, alors cela voulait dire que l’incident n’était peut-être pas aussi sombre que les premiers indices ne supposaient. Ils avaient peut-être été effrayés par un animal et s’était enfuis sans prendre leur affaire, préférant la sécurité et transportant leurs blessés avec eux. La communauté scientifique continuât les fouilles, cherchant d’autres indices et du matériel encore utilisable pour leur propre bénéfice. Ils se félicitèrent aussi d’avoir prévu une escorte aussi puissante que la leur et qui les mettait à l’abri des dangers que leurs confrères ne purent surmonter. 




Cependant, les nouvelles du capitaine, quelques heures plus tard, ne les rassuraient guère car, en effet il avait trouvé le navire des russes, échoué, éventré avec une quantité de sang impressionnante à l’intérieur mais, là non plus, pas de corps. C’est avec ces inquiétudes en tête et le moral en berne que l’équipe d’exploration rentrât au camp, ils prirent un maigre repas et allèrent se coucher sans vraiment savoir s’ils allaient dormir. Trop inquiète de ce qui pouvait se tramer dans ces terres gelé, Katharina ne négociât rien pour les tours de garde qu’elle effectuât avec son frère. Il n’y eut pas de cris cette nuit mais, le silence lugubre de celle-ci n’était pas mieux. 




Le lendemain matin, faisant fi de leur mauvaise nuit et de cette tenace impression de danger, cherchant à aller au bout pour justifier les dépenses d’une telle expédition, les scientifiques se mirent en route pour une nouvelle marche vers ladite grotte que les russes avaient explorée tantôt. Peut-être en sauraient-ils plus sur ce qui leur était arrivé et qu’il pourrait en tirer les enseignements qui les protègeraient d’une fin similaire. 




Ils séparèrent leur gardien, confiant la surveillance du navire à Katharina tandis que son frère lui assurerait leur protection le long de leur marche vers les montagnes. Ils quittèrent donc le camp et prirent la route qui leur semblait la plus direct, évitant les rochers et crevasse qui seraient de sinistres écueils pour leur équipé. Ils franchirent le temps de la matinée le chemin qui les éloignait de la chaine montagneuse et arrivèrent devant la caverne. 




Elle semblait en effet d’origine humaine par ces aspects taillés à même la roche mais, en y regardant de plus près, l’anthropologue vit que les contours de l’entrée étaient taillés avec une précision incroyable sur une roche très dure qu’aucun outil humain ne pouvait égaler. Ils commencèrent à descendre silencieusement, avec précaution, mettant en place des marques et des crochets qui leur permettraient de sortir d’ici en sécurité. Ils s’engouffrèrent toujours plus profondément dans ce qui semblait un boyau granitique sans fond, non pas à pic mais avec une déclivité telle qu’une chute signifiait à coup sûr une glissade mortelle. 




Après une descente interminable, ils arrivèrent enfin en bas, ils allumèrent des torches et furent choqué de voir dans un endroit aussi reculé, des structure architectural cyclopéenne qui représentait selon Andry, une découverte de l’ordre du miracle scientifique. En effet si l’on considérait qu’une civilisation avait pu créer ça, cela remettait en cause l’histoire telle qu’on la connaissait. Il fallait continuer pour en savoir plus.




Avançant dans les allées sombres et sans vie d’une cité antique et déserte, le groupe arrivât bientôt devant une grande porte qui était mentionné dans le journal des russes. Celle-là même qui avait déclenché leur envie de départ qu’ils n’avaient pas pu mettre à exécution. La porte bien qu’immense et d’une épaisseur sans précédent, avait été abattu de l’intérieur comme sous l’effet d’une énorme collision. A côté de la porte se trouvait une stèle sur laquelle des runes et symboles étaient gravés. Lord Isaac bien qu’ornithologue de base, avait des connaissant en histoire antique et entreprit avec le professeur islandais de traduire ces textes. Ils convièrent les autres à trouver d’autres renseignements sur ce qu’était cette cité. 




Cependant il y avait un problème, le biologiste français avait disparu… Il n’y avait aucunes traces de lui et il ne répondait pas aux appels de ses collègues. Alectryon, Sébastien et Leopardi, entreprirent de le trouver le temps que les autre puissent essayer de déchiffrer la tablette. Ils firent donc le chemin en arrière et tentèrent de le retrouver. Peut-être avait il prit peur et était remonté à la surface. Le cardinal avait un mauvais pressentiment mais n’en dit rien pour ne pas inquiéter les autres. Ils marchèrent un moment puis, virent des trace de sang au coin d’une allée, ils se regardèrent, l’air entendu et suivirent ces traces pour savoir ce qui s’était passé. Ils n’eurent aucunes réponses, juste un spectacle horrible de sang et de griffures. L’odeur était tellement insupportable qu’ils durent se couvrirent les voie respiratoire mais cela n’enlevait rien à cette vision affreuse. Ils firent donc demi-tours pour prévenir les collègues restés près de la stèle. 




Après quelques pas seulement, Alectryon entendit un cri étouffé derrière lui. Il se retournât promptement et vi que le docteur BARTOLOMEO avait lui aussi disparut. Un autre avait disparu avec le même genre de trainé de sang, le même modus operandi, si ce n’était cette fois ci un léger cri, trahissant l’action du danger qui rodait dans ces anciennes ruines. Le physicien et lui se regardèrent comme pour comprendre dans le regard de l’autre ce qu’il fallait faire.

Il faut qu’on s’en aille d’ici ! Suggéra le cardinal.

Je n’ai clairement pas envie de demeuré ici un instant de plus. Rejoignons nos amis et allons-nous-en.

Ils prirent donc le chemin vers la porte et la stèle que les autres étudiait mais en route, un nouveau petit cri se fit entendre et Alectryon comprit ce qu’il se passait, le belge venait lui aussi de disparaitre. Pas besoin de s’arrêter et de se retourner, il n’entendait plus les bruits de ses pas le suivant. Le berzerker se hâtât de rejoindre la porte pour mettre fin à ce voyage en essayant de protéger les deux derniers scientifique de cette expédition de malheur. Seulement, a mis course, il fut rejoint par lord Isaac qui courait comme un détraqué. 

Fuyez ! Hurlait le britannique affolé.

Andry à disparut, il faut vite quitter cet endroit de malheur et rejoindre le bateau au plus vite. 

Ils se mirent à courir tous les deux en direction de la sortie de la grotte et commencèrent l’ascension de celle-ci. Alectryon qui gardait l’unique survivant dans son champ de vision lui demandât ce qu’il s’était passé. 

Nous étions en train de traduire quelques passages choisis grâce à quelques références à d’anciennes transcriptions. Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il s’agissait d’une civilisation pré historique mais étrangement avancé technologiquement. Elle avait réussi à vaincre une créature venue d’un autre monde et l’avait enfermé derrière cette porte. Nous comprime tout de suite le danger inhérent à cette découverte. Nous avons voulu vous rejoindre mais en chemin, mon collègue avait disparu, je me suis précipité vers vous. Cette chose que les anciens avaient enfermé est libre et semble avoir fin, je ne veux pas être sur son menu, alors partons d’ici. 

A peine avait-il fini sa phrase qu’un tentacule venait de s’enrouler autour de sa jambe et, il fut happé en arrière, manquant de faire chuter le cardinal avec lui. Ce que vit Alectryon dépassait tout ce qu’il n’avait jamais vu. Une créature informe se tenait derrière, visqueuse et gélatineuse, à moitié dans les ombres, dévorant le pauvre lord avec des bruits répugnant d’os craquant. Sans chercher à en savoir plus et n’ayant plus de témoins, Alectryon concentrât son cosmos et lança un éclair de feu qui fondit sur la bête, lui laissant le temps de s’enfuir de la grotte. 




Après il ne se souvenait plus vraiment de ce qu’il s’était passé, il se réveillât dans les bras de sa sœur, sur le navire qui entamait son retour vers l’Angleterre. Il ne savait pas ce qu’était la chose qui l’avait attaqué mais, tout ce dont il se souvenait c’est qu’elle était encore en vie lorsqu’il avait quitté la caverne.

Désolé pour le retard, suite à mes problèmes techniques mais voici donc les résultats.

Je tient d'ores et déjà à remercier les participants pour avoir pris le temps d'écrire pour le concours, ainsi que tout ceux qui les ont lus. Merci à tous!


Ensuite, voici le classement:

Premier: Fanfic numéro 1 : Epiméthée! 

Second: Fanfic numéro 5: Alectryon ! 

Troisième: Fanfic numéro 2 : Pandore Thuban! 

Quatrième: Fanfic numéro 3 : Violate! 

Cinquième: Fanfic numéro 4: Kurayami! 

Epiméthée remporte ainsi les 5 pts d'éveil, Alectryon 4 pts, et Pandore Thuban 2 pts

Pour rappel, les pts d'éveil servent essentiellement à des achats dans l'éveil des sens et ne peuvent être comptabilisés dans les stats!